Toxicité, cancer et maladies chroniques : ce qu'il faut savoir

Savez-vous à quel point vous êtes assaillis de toxines? Combien de toxines sont réellement cachées tout autour de vous, dans votre nourriture, dans votre eau, dans vos produits de soins corporels, dans l’air que vous respirez? Avez-vous conscience de ce qu'elles font au corps, à quel point elles perturbent le système endocrinien, comment elles créent de l’inflammation chronique, conduisant au cancer. Or, personne ne souhaite vivre avec cette épée de Damocles au dessus de sa tête (notre propre bagage émotionnel est déjà assez doué pour nous fabriquer des maladies dégénératives sans qu’on l’aide avec la toxicité environnante).

Si vous vous sentez dériver sur la pente de la dépression, que vous n’éprouvez plus vraiment de joie ou de plaisir en quoi que ce soit, si vous avez le sentiment d’être seule face à vos problèmes, surtout soyez là. Ce cours est pour vous.

Vous qui lisez ces lignes êtes sans doute intéressés par tout ce qui va vous aider à vivre en meilleure santé, plus longtemps avec plus de vitalité et à prévenir un diagnostic de cancer ou au moins une maladie auto-immune. Parce que depuis 20 ans, en dépit de tout ce que la recherche met au point, en dépit de tous les progrès de la médecine et de l’industrie pharmaceutique, en dépit de l'industrialisation qui continue à œuvrer “ pour le bien de l’humanité”, de plus en plus de gens en sont victimes, et de plus en plus tôt. Les institutions médicales le savent. Les grandes autorités de la santé le savent. Mais n’en parlent pas, sans doute parce que les solutions ne sont pas au point. Alors oui, il faut qu’on en parle. Il faut que ça se sache. Parce que nous avons les moyens d’agir. Parce qu’il faut agir. Alors surtout soyez-là et faites passer.

Les liens des pages évoquées durant le webinaire :

Sur les télomères : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6651551/

Sur l’eau et sa toxicité : https://bit.ly/3zh8sCX

Sur l’offre spéciale AromaPro master : https://cellert.systeme.io/aromapro-master

cécile EllertCommentaire