Soyez vraiment active dans la prévention du cancer du sein
A chaque fois que je vous parle de prévention du cancer du sein je vous donne des faits sur les moyens classiques de “prévention” du cancer du sein et vous révèle que l’aromathérapie vous donne des outils concrets d’agir, sans avoir à attendre les résultats d’une radio.
Je vous donne ces informations en vous rappelant que, quoi qu’il arrive, en matière de cancer, on ne peut pas se contenter de l’aspect physique du problème… il faut impérativement considérer ses origines émotionnelles.
Voici, en complément, des résultats de recherche assez prometteurs qui viennent compléter l’usage de ces outils.
Les bonnes graisses :
Consommer suffisamment de certaines graisses, les acides gras oméga 3, est un moyen connu de combattre l’inflammation interne : et bien il semble que ces acides gras réduisent aussi les risques de cancer du sein.
En fait, les omégas 3 présentent 4 bénéfices principaux : ils décroissent la force des estrogènes dans les tissus du sein, donc, les cellules ne se reproduisent plus aussi rapidement en réponse aux estrogènes.
Les oméga-3 entravent l’inflammation chronique qui est à l’origine du cancer en général, fait réduire les tumeurs et prévient les métastases.
Les femmes qui ont le plus d’oméga 3 dans leur corps ont 500% moins de risques de métastaser comparé aux femmes qui ont le plus bas niveau d’oméga 3, selon les derniers résultats de recherche.
À titre d’indication, il est recommandé de prendre 2 à 3 cuil à soupe d’huile de lin par jour. Choisissez une huile de lin qui a été récemment pressée, réfrigérée et conditionnée dans des bouteilles noires qui la protègent de la lumière.
Le sucre
Tout le monde sait maintenant combien il faut se méfier du sucre… mais lorsque je conseille de limiter au maximum les fruits, je sens toujours une forme de résistance.
Sans doute parce qu’on ne précise pas suffisamment que l’un des sucres les plus dangereux est le fructose, ou sucre des fruits. Les cellules cancéreuses se servent du fructose pour augmenter leur prolifération.
Le prix Nobel Otto Warburg le disait déjà en 1924 dans un article sur le métabolisme des tumeurs : « Résumer en quelques mots la principale cause du cancer est le remplacement de la respiration normale des cellules avec l’oxygène par la fermentation du sucre ».
Il faut savoir que le métabolisme du cancer est environ 8 fois plus grand que le métabolisme normal des cellules. La recherche a montré depuis longtemps que le cancer ne métabolise pas de la même façon qu’une cellule normale : une cellule normale a besoin d’oxygène. La cellule cancéreuse meurt en présence d’oxygène, sauf si elle est en présence de suffisamment de glucose.
Il lui en faut « suffisamment », parce qu’une cellule cancéreuse a de gros besoins en glucose, comparé à des cellules bénignes venant des mêmes tissus.
On a prouvé qu’un niveau élevé et chronique de glucose dans le sang, d’insuline et de facteur de croissance insuline-like facilite la genèse de la tumeur et réduit les chances de guérison.
De toute façon, le sucre transforme le corps en une usine à virus, bactéries, moisissures et cancer en dévastant le système immunitaire.
Consommer du sucre revient à le donner au cancer pour nourrir et le faire proliférer (comme c’est le cas pour le candida).
Conclusion : Suivez un régime anti-candida et vous vous assurez de suivre un régime anti-cancer.
Si les cancérologues comprenaient enfin, et faisaient appliquer, ce concept tout simple au lieu d’intoxiquer leurs pauvres patients à coup de chimiothérapie et de radiation, tout en leur conseillant de se donner des forces avec de la glace bien sucrée avant les séances, ils auraient subitement de bien meilleurs résultats… et des malades auraient peut-être la vie sauve.