Oncologie Intégrative : quand le cancérologue se transforme en praticien holistique

L’oncologie intégrative est très à la mode en ce moment aux États-Unis.

C’est celle qui rend les traitements classiques anti-cancer plus sûrs et plus efficaces, mais surtout, c'est son enseignement holistique qui nous donne les moyens d’échapper tout simplement au cancer !

images-4-150x150.jpeg

Créer une synergie positive pour rendre les traitements plus efficaces

Tout le monde sait ce qui arrive à une femme à qui on diagnostique un cancer du sein : en général mastectomie, chimio et toute une série d’effets secondaires tels que beaucoup de douleur, perte des ongles, des cheveux, constipation, diarrhée, fatigue permanente, perte de mémoire… Le genre de symptômes qui vous montre qu’il y a vraiment quelque chose qui ne va pas dans ces traitements et qu’il y a certainement quelque chose à faire pour vous aider sans vous faire encore plus de mal.

Parce qu’en fait, si les traitements contre le cancer n’étaient pas si pénibles et si risqués, on aurait sans doute beaucoup moins peur de la maladie… C’est vrai que face à un diagnostic de cancer, on aurait tendance à se diriger directement vers le chirurgien, pétri de trouille, impatient qu’il nous retire Alien de l’organisme !

Entre ça, la radiothérapie et la chimiothérapie, on a fait le tour assez rapidement et pour beaucoup de malades, ça s’arrête là. Mais pour de nombreux experts, il est temps de découvrir l’efficacité des traitements holistiques. Il est temps de faire jouer le lien corps-esprit, c’est-à-dire une approche longue durée de la maladie qui prend en considération bien plus que le site de la maladie : c'est ce qu'en aromathérapie holistique on appelle la psycho-neuro-endocrino-immunologie, ou l'art d'agir partout en même temps, de la tête aux pieds. C’est dans ce cas là que l'on cesse de faire de l’à peu près avec une ou deux techniques alternatives pour enfin agir massivement dans le bon sens, c’est-à-dire que l’on va combiner la nutrition, l’exercice, la gestion du stress à une approche anti-toxicité, anti-inflammatoire et immuno modulatrice pour faciliter la rémission et surtout éliminer les risques de récidive.

La bonne nouvelle c’est qu’on n’a pas besoin de souffrir du cancer pour en profiter ! Entre nous, c’est ce à quoi tous mes clients en coaching ont droit :  l’approche de base de toute action anti-chronicité classique, celle que je fais intervenir dans tous les cas (surtout via une approche anti-candida)… et c’est ce qui vous donne le plus de moyens de vous prémunir contre le cancer. Nous sommes tous des malades potentiels du cancer, parce que toute maladie chronique prend racine dans l’inflammation.

Or, tout état inflammatoire s’auto entretient dans le ventre grâce à l’invasion du candida. La plupart des cancers naissent quand on a 20 ans. Avec le temps, l’exposition à la pollution et à toutes sortes de toxines, inclus les médicaments, s’ajoute à des prédispositions génétiques. Entre le niveau d’inflammation et l’état du terrain d’une personne, le corps peut rendre les armes n’importe quand et le manifester sous la forme d’un cancer, des dizaines d’années, plus tard. La bonne nouvelle c’est que de plus en plus d’hôpitaux lancent des programmes intégratifs qui font intervenir des techniques holistiques qui ont fait leurs preuves comme l’acupuncture, la phytothérapie et l’aromathérapie. 

images-3-150x116.jpeg

Vers une norme de soin intégratif du cancer ?

En fait, ici aux États-Unis, durant les 15 dernières années, la plupart des grandes villes ont établi des programmes holistiques qui s’associent aux traitements classiques, que ce soit à New York City (memorial Sloan kettering), Houston (MD anderson cancer center) ou Los Angeles (Simms/Mann Center for integrative oncology).

Un autre niveau de soin intégratif, plus personnalisé mais aussi plus expérimental, se met doucement en place dans des endroits comment le Block Center for integrative cancer care à Skokie, Illinois. C’est là qu’on insiste le plus dans la considération du lien corps-esprit. Là, plus de généralité : que du sur-mesure. Et c’est ce qui fait vraiment la différence.

Pour le directeur des programmes cliniques du Osher Center for integrative medicine à San Francisco, le Dr Donald Abrams, le cancer est une mauvaise herbe : l’oncologiste traditionnel tente de détruire la mauvaise herbe, même si pour cela il faut tout casser avec du Roundup. Pour lui, au contraire, son travail d'oncologue intégratif revient à utiliser une grande variété d’outils alternatifs pour prendre vraiment soin du jardin de façon à ce que la mauvaise herbe ne s’y sente pas bienvenue. À la base de ce travail : contrôler l’inflammation et chouchouter l’immunité. C’est-à-dire, augmenter notre consommation d’aliments anti-cancer et radicalement éliminer ce qui facilite la croissance du cancer, à savoir le sucre et les hydrates de carbone raffinés ( Suivre un régime anti-candida).

Ce sont ceux qui contribuent le plus à la résistance insulinique, celle qui va favoriser l’inflammation et la progression de la tumeur. Lorsque l’on interroge un oncologue intégratif sur son travail, il dira que deux patients ne sont jamais les mêmes… Lorsque des personnes lui demandent de leur donner un aliment qui va les décancérifier, il refuse ! (un peu comme moi qui passe mon temps à répéter que non, il n'y a pas Une huile pour ci ou ça... ). Parce que dès qu’une approche holistique est impliquée, la personne est impliquée aussi, en son entier, et on ne peut pas se contenter de lui conseiller ce qui marche chez son voisin. Par contre, on peut lui apprendre comment créer un environnement anti-inflammatoire dans leur corps, dans leur vie, qui sera beaucoup moins séduisant pour héberger une tumeur.

C'est ce que je m'efforce de faire via le mode d'emploi de l'Equilibre du ventre et l'Equilibre anti-candida. À ces deux approches complémentaires, il faut associer l'éradication du stress ! La culture de la zénitude ! Parce que le stress chronique est aussi dangereux que de continuer à consommer des aliments interdits.

Cancer et stress chronique : le duo mortel

La recherche nous montre que le stress chronique peut tout autant vous mettre à risque de développer un cancer que l’inflammation et la mauvaise nutrition. Au cours des dix dernières années une psychologue de l’université de Californie, Lari Wenzel, a joué un rôle significatif pour clarifier combien la réduction du stress était bénéfique pour les patients atteints de cancer. Dans une étude publiée en 2018 dans le journal Clinical cancer research, elle rapporte que les femmes atteintes de cancer cervical ont pour point commun une qualité de vie gravement compromise et le stress élevé qui en découle. Elle a trouvé qu’en les aidant à travailler sur leur stress elle les aidait aussi à augmenter leur immunité, donc, leurs chances de se protéger du cancer.

De son coté, Keith Block, directeur médical du Block center for integrative cancer care, insiste sur le fait qu’une approche corps-esprit fait partie intégrante du traitement anti-cancer appliqué au centre. Il précise que la recherche démontre que le soin du stress chronique a un impact sur le terrain biochimique des patients et si on le néglige, c’est toute leur immunité et leur biologie qui sont laissés en friche.

"Tout ce qui va avoir une action positive sur le niveau d’anxiété va réduire les tensions chroniques, réduire le cortisol et les autres hormones du stress qui participent à la progression de la maladie. C’est pour cela que n’importe quelle technique qui implique la reformulation, la communication positive et qui permette aux patients de passer le cap de la négativité sera bonne à prendre."

Votre mode d'emploi anti-stress : les outils pro-joie, pro-bonheur, qui vont vous apprendre à ne plus stresser inutilement.

Vraiment mieux gérer vos émotions, Soigner stress, anxiété, douleur et fatigue issus du stress, Vous donner le pouvoir des huiles essentielles... c'est la formule qui vous protégera du cancer, et surtout augmentera vos chances de guérison si vous en souffrez déjà.

Screen Shot 2020-05-06 at 6.19.14 PM.png