Les dangers cachés du "dépistage" du cancer du sein

Ce n’est pas la première fois que je vous en parle, mais comme on continue à me poser la question “tu es pour ou contre la mammo?'“, je comprends qu’il faut parfois insister. Je n’ai fait qu’une seule mammographie dans ma vie. Et déjà là j’ai eu droit à un niveau de stress dont j’aurais pu me passer. Alors je fais sans depuis 17 ans.

Il se trouve que régulièrement je reçois du matériel sur le sujet, alors je vous en traduis un peu ici, ça ne va pas vous faire de mal de vous informer.

Des millions de femmes les subissent chaque année, mais peu sont conscientes des nombreux dangers auxquels elles s'exposent au nom de la prévention, notamment les erreurs de diagnostic, les sur-diagnostics et la promotion du cancer du sein lui-même.

 

Une étude préoccupante publiée dans les Annals of Family Medicine et intitulée Conséquences psychosociales à long terme de la mammographie de dépistage faussement positive, met au premier plan un préjudice majeur plutôt ignoré des programmes de dépistage du cancer du sein : le traumatisme très réel et durable associé à un diagnostic faussement positif  du cancer du sein. Il est vrai que dès qu’il s’agit de vous “balancer la bonne nouvelle”, les médecins font rarement dans la dentelle.

 

L'étude a révélé que les femmes avec des diagnostics faussement positifs de cancer du sein, même trois ans après avoir été déclarées indemnes de cancer, "ont systématiquement signalé des conséquences psychosociales négatives plus importantes que les femmes qui avaient des résultats normaux dans les 12 résultats psychosociaux".

 

Les paramètres psychosociaux et existentiels affectés négativement étaient :

 Sentiment de découragement

Anxiété

Impact négatif sur le comportement

Impact négatif sur le sommeil

Degré d'auto-examen des seins

Impact négatif sur la sexualité

Ce qui est encore plus inquiétant, c'est que six mois après le diagnostic final, les femmes faussement diagnostiquées continuaient à subir des changements dans les valeurs existentielles et le calme intérieur aussi importants que ceux rapportés par les femmes qui avaient réellement été diagnostiquées avec un cancer du sein.

 Bref, même après avoir été "débarrassée du cancer", elles continuaient de souffrir. Moi j’appelle cela un trauma, suivi d’un syndrome post traumatique. Comme si les femmes avaient besoin de cela.

Et ce n’est qu’une petite partie des risques. Bien sûr, on va vous dire que vous risquez de développer une boule qui serait invisible sans la mamo. Mais subir cet examen régulièrement en est un aussi (en dehors du risque du faux positif).

En fait, la procédure comporte des risques pour la santé, tant pour le corps que pour l'esprit. Par exemple, selon une étude révolutionnaire publiée en novembre dernier dans le New England Journal of Medicine, 1,3 million de femmes américaines ont été surdiagnostiquées et surtraitées au cours des 30 dernières années.

Oui, sur-traitées. Ce sont les "faux positifs" qui n'ont jamais été détectés, entraînant l'irradiation inutile, l'empoisonnement par chimiothérapie et la chirurgie d'environ 43 000 femmes chaque année. Or, si l'on ajoute à ces chiffres  les millions de "faux positifs" qui, tout en étant détectés, ont néanmoins provoqué des traumatismes chez ces femmes, le dépistage mammaire commence à ressembler à un véritable cauchemar d'iatrogénèse.

 

Et cela ne tient même pas compte des dangers radiobiologiques du processus de dépistage par mammographie aux rayons X lui-même, qui peut être à l'origine d'une épidémie de cancers du sein radio-induits et, pour la plupart, non reconnus dans les populations exposées.

 

En même temps, il n’y a pas que la mammographie qui soit discutable. La prestigieuse revue Cancer, une publication de l'American Cancer Society, a publié une étude réalisée par des chercheurs du Département de radio-oncologie de l'UCLA Jonsson Comprehensive Cancer Center qui montrent que même lorsque les radiations tuent la moitié des cellules tumorales traitées, les survivants les cellules résistantes au traitement, appelées cellules souches du cancer du sein induites (iBCSC), étaient jusqu'à 30 fois plus susceptibles de former des tumeurs que les cellules cancéreuses du sein non irradiées.

 En d'autres termes, la radiothérapie fait régresser la population totale de cellules cancéreuses, ce qui génère l’illusion que le traitement fonctionne, mais augmente en fait le rapport des cellules hautement malignes aux cellules bénignes dans cette tumeur, conduisant finalement à un décès du patient (par son propre traitement).

 

Je n’aime pas devoir le constater et vous le rappeler, mais il n’y a pas trop moyen de l’ignorer : c la stratégie et les protocoles conventionnels de prévention et de traitement du cancer du sein sont en faillite. Ou, si on est un peu cynique, on constate qu’il connaît un immense succès, du fait qu'il génère des milliards de dollars et  d’euros de revenus en produisant davantage de ce qu'il prétend combattre.

Pour conclure : en dehors du fait qu’il est crucial de bien connaitre vos huiles essentielles et de savoir les utiliser car elles ont vous donnent les moyens de réellement vous protéger, à tous les âges, de tout, même du cancer, rien ne remplace de savoir agir sur les cellules de votre corps énergétiquement, et surtout, d’identifier si vous avez réellement quelque chose de grave, ou si tel et tel traitement est bon pour vous.

Je vous rappelle donc que vous avez AromaPro master pour bien savoir utiliser vos huiles

Vous avez AromaPro Subtile pour agir sur vos cellules énergétiquement (et agir sur les origines traumatiques d’un cancer potentiel)

et vous avez l’atelier “pendule” pour maitriser ce petit outil indispensable et irremplaçable.

 

 Pour celles qui comprennent l’anglais, voici des liens comprenant les études évoquées dans cet article.

John Brodersen, Volkert Dirk Siersma. Long-term psychosocial consequences of false-positive screening mammography. Ann Fam Med. 2013 Mar-Apr;11(2):106-15. PMID: 23508596

Rebecca A Hubbard, Karla Kerlikowske, Chris I Flowers, Bonnie C Yankaskas, Weiwei Zhu, Diana L Miglioretti. Cumulative probability of false-positive recall or biopsy recommendation after 10 years of screening mammography: a cohort study. Ann Intern Med. 2011 Oct 18 ;155(8):481-92. PMID: 22007042

Research: Some Diagnoses Kill You Quicker Than The Cancer, April 2012

30 Years of Breast Screening: 1.3 Million Women Wrongly Treated, Nov. 2012

GreenMedInfo.com, How X-Ray Mammography Is Accelerating the Epidemic of Breast Cancer, June 2012