Le nouveau cocktail à la mode : sans alcool !
Et si la sobriété devenait le nouvel Or à boire à la mode ?
Pourquoi de plus en plus de femmes se mettent elles à réduire leur consommation d’alcool ou même, l’arrêter complètement ? C’est plus qu’une mode… c’est devenu un “mouvement” qui impact même les menus de cocktails des bars les plus trendy de L.A. (oui, c'est Los Angeles).
La santé est à la mode. Pas l'alcool.
Si quelqu’un vendait une pilule qui rassemble tous les bénéfices de ne plus boire, c’est-à-dire mieux dormir, perdre du poids et avoir la pêche, il se ferait une fortune. Aujourd’hui, des gens se réunissent en ligne pour organiser des événements où l’alcool est quasi inexistant. Des branches de la sobriété qui veulent s’amuser sans perdre la tête ou leur santé. Si si, c’est possible ! Si je n’étais pas si pantouflarde, j’irais les rejoindre… parce que moi et l’alcool, ça fait deux. En fait, je n’ai jamais été saoule de ma vie. Un verre de vin me fait toute une soirée. Un cocktail, je ne le termine jamais. Ah si, j’aime bien le vin chaud que je me fais à la maison quand il fait froid, avec des ingrédients bio… c’est encore pire. Bref, les boissons sans alcool sont à la mode dans de plus en plus de bars, ici, aux États-Unis, et c’est peut-être déjà le cas en France ou ailleurs en Europe.
Exit, le gin dans le tonic.
Alors j’ai envie de dire : il était temps ! Déjà que pendant des années, la femme sexy qui voulait attirer le regard d’un homme devait automatiquement tirer sur une cigarette (l’exemple classique, Sandy dans Grease, fait semblant de fumer pour coller à son déguisement de vamp) ou au moins, se désinhiber avec l’aide d’un alcool fort ou d’une bulle de champagne pour se donner une chance de tomber dans les bras d’un garçon. Être “proper” comme on dit ici n’a jamais été sexy. La vamp fume et boit. Et pourtant, l’alcool ne nous met pas toujours en valeur… loin de là. Bien sûr, l’alcool déclenche des petites choses dans le cerveau qui nous mettent dans un état second propice à une forme de relaxation évidente, mais un excès de décontraction et donc, de tenue, peut avoir des conséquences regrettables. Tout le monde le sait.
Les copains, et la santé, d'abord.
C’est peut-être pour cela que les personnes qui décident de se désalcooliser constatent que leur façon de connecter avec leurs nouveaux amis (oui, les autres continuent à boire…) n’est plus la même. Au début, on a peur qu’une sortie soit bien morne sans un cocktail, mais le simple fait d’avoir toute sa tête dans une soirée est une bonne façon de se souvenir (oui, on se souvient de la soirée!!!!) que c’est la qualité des échanges avec nos amis qui a de la valeur… pas l’alcool.
La plupart de ceux qui arrêtent de boire le font pour des raisons de santé et bénéficient d’un tout premier avantage : la perte de poids ! Mais ça n’est que le dessus de l’iceberg ! Il y a aussi l’humeur (plus rien à voir quand le foie se sent mieux). En fait, l’alcool perturbe un neurotransmetteur régulateur de l’humeur qui, avec le temps, contribue à la dépression et à l’anxiété. Les spécialistes de l’addiction le savent bien et sont les premiers à le rappeler. À long terme, l’alcool (parfois, un simple verre de vin par jour) a été relié à l’hypertension et de nombreux types de cancer. Je m’étais fait la réflexion quand une de mes amies s’est retrouvée atteinte d’un cancer du sein gros comme une pêche à 30 ans, alors qu’elle allaitait son deuxième bébé de quelques mois. Elle n’entrait pas du tout dans les critères de risques de développer un cancer du sein (elle en a eu deux), à ceci près qu’elle buvait quelques verres de rouge tous les soirs… et comme par hasard, elle se plaignait tout le temps de sa vie qui aurait pourtant fait envie à la majorité des femmes de son âge. Une insatisfaite… Mais bon… on ignore si elle buvait pour oublier ou si elle souffrait de ce genre de dépression parce qu’elle buvait ! Quoi qu’il en soit, elle est tout de même morte suite à deux cancers du sein (normal, avait fait une chimio…) à moins de 40 ans, avec deux petites filles derrière elle.
Or, je découvre aujourd’hui qu’un rapport scientifique fait le lien entre un unique verre quotidien (oui, un par jour) et une augmentation de 5% du risque de développer un cancer du sein.
Sans alcool, on apprend à compenser... bien sûr !
La nouvelle vague, celles qui préfèrent ne plus boire du tout, s’est tournée vers autre chose, comme la lecture, le yoga, et les huiles essentielles pour compenser. Oui, les huiles essentielles compensent ! Avec pour avantage supplémentaire de tout remettre sur les rails, vous, tout autant que vos organes… J’en ai eu la preuve de nombreuses fois avec mes clientes, mais récemment, sur ma fille. Étudiante, les examens sont finis mais le stress retombe et là, elle me dit : je boirais bien quelque chose pour décompresser. Quelle idée ! Elle ne supporte pas l’alcool ! Mais toutes ses copines fonctionnent comme cela... alors, quoi d'autre (what else ?).
Alors, j’ai préparé à mademoiselle une petite crème de jour (oui, ça marche toujours la petite crème de jour). Je l’ai chargé avec tout ce que j’avais sous la main en termes de régulateurs du système nerveux. Et laissez-moi vous dire que… ça marche ! Elle s’est retrouvée dans un état second proche de l’ébriété, s’est couchée avec un bouquin dont elle n’a pas eu le temps de lire une page avant de fermer les yeux. Un bon plan cette crème. Du coup, elle hésite à la mettre le matin (bon, je vais lui en préparer une autre, plus légère), mais au moins, elle dort bien, prend soin de sa peau, de son foie et de son système nerveux.
Si vous souhaitez faire l’expérience durant les fêtes par exemple, voici un échantillon des huiles essentielles que j’ai mises dans la crème de ma grande bébé de fille :
La rose otto,
La marjolaine à coquille,
Le jasminLa mandarine,
L’encens d’oliban,
La graine de carotte,
L’ylang ylang,
Le patchouli,
La lavande vraie,
Le géranium,
La sauge sclarée,
L’angélique racine.
Ces huiles sont en majorité de magnifiques sédatifs, des régulateurs du système nerveux, des désintoxiquant du foie, des anti-dépresseurs et des anxiolytiques. Après, tout est dans la dose ! À vous de faire votre petite cuisine… Pour vous aider, Essentiel beauté, un petit livre que je vous offre pour vous mettre les doigts dans les huiles et faire vos premiers pas de façon ludique. Cliquez ici pour le recevoir dans les minutes qui viennent.