Vous voulez guérir ? Alors passez de l'autre coté de la peur...

“Quand on voit comment le pouvoir de l’esprit est traité par la médecine conventionnelle, il est difficile à croire que les étudiants en médecine aient des cours sur le placebo. Et pourtant, ils (en tout cas, aux Etats Unis) apprennent que l’esprit peut influencer le corps et que lorsque les malades se sentent mieux après avoir ingéré une pilule à base de sucre, on appelle cela l’effet placebo.

Je dis souvent à mes « malades » que c’est leur propre perception de leur environnement directe qui les rend malades. Et bien, dans l’autre sens, leur perception, qu’elle soit juste ou pas, a le pouvoir d’influencer positivement leur corps et leur comportement.“

Ces quelques lignes sont un extrait du chapitre sur l’effet placebo que je vous ai écrit dans mon dernier livre, l’Equilibre anti-douleur.

Je souhaitais vous en parler parce qu’en face de l’effet placebo (être trompé pour se sentir mieux), il y a le contraire, c’est à dire, l’effet nocébo, qui se traduit par “être lésé par les attentes”. Vous l'avez compris, le nocébo n'a rien de positif. Ce phénomène est appelé «expectative» dans la littérature médicale, par exemple, quand on dit aux sujets qu'ils peuvent être trompés par une pilule de sucre en essayant des médicaments populaires comme le Prozac : cette simple précision peut entraîner une perte complète des bénéfices potentiels offerts par le médicament. On sait que l’on risque de tomber sur la pilule en sucre, du coup, même si on a reçu le Prozac, nous n’en ressentirons pas forcément les effets (en admettant que ça en ait). C’est l’inverse de l’effet placebo.

C'est l'effet qui vous maintient dans la conviction que vous ne pouvez pas guérir. Je voulais vous parler de ces deux effets pour aborder avec vous combien la peur de la maladie en soit est suffisante pour vous rendre malade. Personne ne souhaite que ça lui arrive, et pourtant, c'est malgré tout ce qui arrive à la plupart. Nous subissons tous des croyances qui sont tout simplement conditionnées par notre culture : celle de la toute puissance de la médecine, des médicaments, des examens médicaux.

Si ces croyances exploitent la peur en tant que vulnérabilité, cette peur va influencer notre physiologie au même titre qu’une confiance issue d’une forme de foi (en la médecine, en un médicament, c’est à dire, l’effet placébo) va le faire. J’ai reçu tout à l’heure la lettre d’une de mes lectrices, Catherine, qui me dit ceci :  « Je suis très perturbée depuis la lecture de votre livre...(Histoires de femme). Je n'en dors plus ! Le chapitre sur la mammographie me fait très peur... Il est très difficile de la refuser au médecin qui vous culpabilise ou vous dit "ne vous plaignez pas si ..."C'est très difficile....et on se sent très seule ....”

Il est vrai que je ne suis pas tendre avec la mammographie... mais il faut bien que les femmes sachent ce qui va réellement les aider à ne pas développer un cancer ! Or, la mammo n'a jamais prévenu aucun cancer... elle ne fait que confirmer qu'on devient de la chair à pâté pour chimiothérapie/radiothérapie et chirurgie. Et c’est la même chose au sujet des traitements contre le cancer. Je viens d’écouter une nouvelle série de conférences sur la véritable prévention du cancer qui met le doigt sur ce que de plus en plus de chercheurs nous rappellent : ce sont nos croyances et nos peurs qui les fabriquent. (je vous en ai traduit une sur le même sujet, sur youtube ici).

C’est avant la mammographie qu’il faut travailler à éliminer ses peurs. Tous ces spécialistes le confirment : "Traiter” un cancer du sein (ou un autre) avec une chimio et de la radiothérapie sans s’occuper de ces peurs est la garantie d’un retour vers la case départ et fabriquer un autre cancer dans les années qui suivent".

Alors, qu'est-ce que l'on doit faire ? Qu'est-ce qui nous reste ?

Entre l'empoisonnement à petite dose par chimio (qui fait qu'on meure plus des effets de cette chimio que du cancer) et la culpabilité que toute une équipe médicale nous inflige, qui nous fait miroiter le pire et l'abandon total si nous n'adhérons pas à cette solution qui n'a rien, mais alors rien du tout, de rassurant ?Je sais que ce genre de discours va faire dresser les cheveux sur la tête de ceux qui croient dur comme fer au pouvoir de la chimie, mais je n’invente rien…les livres publiés sur le sujet (comme celui que je cite le plus, “Biologie de la croyance” de Bruce Lipton, ou As a man Thinketh de James Allen, ou Psychocybernetics du Dr Maxwell Maltz) abondent et les exemples de rescapés du cancer qui ont échappé aux traitements traditionnels aussi.

Donc, cela n’est pas la peur entretenue par un médecin autoritaire et intimidant qui doit vous pétrifier. Cela n’est pas la peur de ne pas faire de mammographie qui doit vous faire culpabiliser…. c’est celle de subir des émotions qui vont avoir un effet dévastateur sur votre organisme. Cette peur de mal faire n'est que le meilleur moyen de vous fabriquer la maladie tant redoutée ! Et puis il y a toute la pollution issue des émotions douloureuses non résolues, blessures issues de l’isolement, de la perte, de la honte, de la séparation, de l’héritage de bagages familiaux.

Le chagrin colore nos expériences et informe notre subconscient de la façon dont nous devons voir la vie et répondre aux événements qui la ponctuent. Dans l’Equilibre anti-douleur  je vous explique combien vos douleurs sont de messages à identifier et comprendre pour pouvoir les transformer. Et cela n’a rien de neuf ni d’ésotérique ! La discipline scientifique de la psycho-neuro-endocrino-immunologie (que vous pratiquez sans le savoir en utilisant les huiles essentielles) existe depuis les années 1990 et nous parle d'un lien entre le système immunitaire, le psychisme et le cerveau. La Doctoresse Candace Pert, chercheuse au NIH et découvreuse du récepteur aux opiacés, a été l'une des premières à identifier et justifier que les émotions donnent des codes dans le corps, une notion qui pourrait facilement être rejetée par le modèle de médecine «corps comme machine» qui domine encore la médecine d’aujourd’hui.

Or, ce qui a été documenté et constaté sont les déclenchements émotionnels et les guérisons inexplicables qui peuvent se produire via la pratique du yoga kundalini , de l’Emotional Freedom technique, et toutes autres approches qui impliquent une auto-stimulation répétitive de certaines régions du corps. Alors de même que, comme l’enseigne Tony Robbins, vous pouvez atteindre le bonheur instantanément en changeant la façon dont vous percevez votre vie, cette perception, mal orientée, peut être une tueuse. Cette perception va entièrement dépendre de ce qui s’est accumulé dans votre subconscient durant les 7 premières années de votre existence. N’importe quel conflit entre cette perception et la réalité va entraîner une forme de dissonance en vous, un déséquilibre.On dit souvent qu’il n’y a que la perception qui compte.

Mais cette perception, ou réalité, peut ne pas être alignée avec la vérité. Et c’est là qu’elle se transforme en conflit. Or, lorsque nous changeons la façons dont nous voyons les choses, les choses que nous voyons, se mettent à changer.

Pour y arriver, il faut d’abord abandonner son rôle de victime qui dépend d’un système qui impose ses propres réponses. Devenir acteur confiant change tout... Pour revenir au cancer, source de tant de peur et tant de manipulation de la part du système médical actuel, le corps le développe dans le cadre d'un programme biologique très significatif puis le réduit, une fois le conflit psychique originel résolu. C’est tout.

Tous les conférenciers que j’ai écouté ces derniers jours n’ont fait que le répéter : la maladie est en fait adaptative et la preuve d'un processus de guérison est déjà en cours. Et c’est exactement la même chose en ce qui concerne la douleur (je vous en parle dans l’Equilibre anti-douleur dès le tout premier chapitre).

Les conflits psychiques, et particulièrement ceux qui provoquent des angoisses, donnent lieu à un processus physiologique qui va entraîner des changements dans la prolifération cellulaire des organes. Ce processus se résout spontanément (à l'aide du microbiome interne) lorsque le conflit est abordé puis résolu. Tout simplement... C’est cette notion qui aide à expliquer pourquoi on met en garde contre la colère refoulée, émotions enfouie qui représente un des plus grands risques de cancer. C’est encore une illustration de combien la perception et le contexte culturel sont au cœur de la maladie.Pour en revenir à la peur, on peut dire qu’elle se manifeste sous forme de maladie. Et si elle est la maladie, quoi faire ?

En aromathérapie holistique on l’aborde par le traitement de l’énergie du rein et de celle du cœur. L’émotion associée à l’énergie du rein étant la peur et celle de l’énergie du cœur étant l’amour.(Tous les détails pratiques sont dans l'Essentiel de l'Equilibre)

Bien choisies, les huiles essentielles vont agir à la fois sur l’état énergétique de ces méridiens, sur leurs organes associés, mais aussi sur leurs émotions profondes, et appliquer à votre insu la toute puissance de la psycho-neuro-endocrino-immunologie.

Remplacer la peur par la gratitude, une des plus belles manifestation de l’amour de soi et des autres, fait partie du processus. Et puis bien sur, donner un nouveau langage au subconscient via la puissance d’une technique comme l’Emotional Freedom Technique (ou taping) n’est pas étranger à la façon dont on a vu s’évanouir des maladies soit disant incurables. Le plus important est de créer une nouvelle histoire dans laquelle personne n’est plus une victime.

A la toute fin de l’Equilibre anti-douleur, je vous suggère de retrouver votre chemin. « Dans toute forme de rééducation réussie, il y a l’application d’un rituel. La transformation d’un système de croyance. Car, si vous avez toute votre vie fait confiance à la sacro sainte parole de la blouse blanche accréditée par ses diplômes, vous avez eu l’habitude de vous soumettre à la passivité, celle qui consiste à attendre qu’une ordonnance fasse son effet, en dépit de vos véritables besoins. Passer de cette passivité à l’action, c’est passer de l’ignorance à l’éducation, à l’illusion des symptômes effacés à la réalité des besoins du corps et de l’esprit. Une médecine holistique revient à prendre tout en compte, depuis tous aspects de la vie d’une personne, tout son être, tout ce qu’elle a déjà subit, et lui rendre la foi en sa capacité de guérison. La rééducation dont je parle, c’est celle qui revient à détricoter trois siècles d’une approche médicale qui sépare le corps et l’esprit, telle que l’a enseignée Descartes. La maladie est-elle purement physique ou réellement affectée par l’esprit ? Est-ce purement physique ou est-il affecté par les interactions avec l'esprit ? Aujourd’hui, ceux qui séparent encore les deux n’ont vraiment pas beaucoup de chance de faire apparaître la guérison. Aujourd’hui, les scientifiques qui démontrent l’impact du subconscient et des émotions sur l’origine de la maladie ne se comptent plus. Il y a un chemin à trouver, et là, un bout de chemin à faire vers la guérison. Personne ne peut guérir qui que ce soit. Par contre, un bon thérapeute peut devenir l’assistant du malade, celui qui lui montre le bon chemin."

Vous avez heureusement pas mal d'outils pour vous aider à agir réellement et ne plus vivre dans la peur de la maladie! De nombreux livres vous attendent ici

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Cecile Ellert8 Comments