Cancer du sein : un espoir qu'on ne vous dévoile pas

Des millions de femmes vivent dans la hantise du cancer du sein. Et tout autant assimilent un diagnostic de cancer du sein à une possible condamnation à mort, allant de l'ablation de la poitrine (et des ovaires) à la radiothérapie et aux traitements de chimiothérapie, alors qu'en réalité, la vérité est beaucoup plus clémente.

Une étude de cas et une revue de la littérature publiées dans le Journal international de pathologie clinique et expérimentale de 2014 mettent en lumière un phénomène qui est rarement, voire jamais, reconnu par les établissements de médecine traditionnelle, à savoir un cas de régression spontanée du cancer du sein avec métastases ganglionnaires distantes.

On a diagnostiqué chez une femme de 52 ans une masse dans son sein gauche qui s'était étendue à un ganglion lymphatique sous les aisselles.

Avant la chirurgie, elle avait un diabète de type 2 grave et avait été traitée à l'insuline jusqu'à normalisation de son taux de sucre élevé, un mois plus tard. Elle a ensuite subi une opération au sein gauche. Et là, surprise, son examen postopératoire a révélé la régression spontanée du cancer du sein à la fois au site primaire et au ganglion métastatique de l'aisselle.

Cela remet en question des hypothèses profondément ancrées dans l’approche traditionnelle du traitement du et des normes de soins. On sait que la chimiothérapie et la radiothérapie sont fortement toxiques pour le système immunitaire de la personne qui les reçoit; même les médicaments qui visent à améliorer ou à remplacer la réponse immunitaire de la « victime » en question ( tels que le médicament ‘immunothérapie’ Yevoy, qui coûte une fortune)ont des effets secondaires mortels.

Si la réponse immunitaire de la malade était considérée comme importante dans la lutte contre le cancer, la plupart des médicaments et des approches conventionnelles de lutte contre le cancer actuellement utilisés seraient contre-indiqués. Et moi qui suis souvent le témoin de ce qui est imposé aux femmes qui se font traiter peux le confirmer : il y a de quoi tomber malade.

C’est là que les approches de soutien immunitaire liées aux pratiques esprit-corps, à la nutrition, aux compléments alimentaires, à l'exercice, aux systèmes de soutien familial et interpersonnel et à d'autres facteurs liés au mode de vie devraient être prioritaires.

Et bien, il se trouve que le rapport que j’ai cité en début de page révèle que la régression spontanée du cancer du sein peut être obtenue grâce à une réponse immunologique adaptative innée. Et surtout, des méta-analyses puissantes de la littérature sur le cancer du sein montrent une régression spontanée des tumeurs non rares. Vous allez me dire que cela ne concerne que des cas rares… et bien même pas !

En fait, depuis le début de l'année 2011, une méta-analyse puissante publiée dans Lancet Oncology («Histoire naturelle des cancers du sein détectés dans le programme suédois de dépistage par mammographie: une étude de cohorte»),a révélé que les tumeurs invasives du sein régressaient souvent spontanément lorsqu'elles n'étaient ni diagnostiquées ni traitées. Mais personne n’en parle ! Il ne vaut mieux pas que ça se sache…

Dans le rapport de cette étude, on lit :

« Étant donné que l’incidence cumulative chez les témoins n’atteignait pas celle du groupe dépisté, nous pensons que beaucoup de cancers du sein invasifs détectés par un dépistage mammographique répété ne sont toujours pas détectés par le dépistage à la fin des six ans, ce qui suggère que des cancers du sein invasifs détectés à l’écran ont en fait régressé spontanément. "

Dans une autre étude, ces mêmes scientifiques ont fait référence au modèle de simulation d'épidémiologie du cancer du sein, en tant que preuve supplémentaire qu’il y a effectivement régression spontanée du cancer du sein dans environ 40% des cancers du sein. C’est énorme !

Les normes de soins reposent souvent sur des procédures très agressives et souvent traumatiques, notamment la radiothérapie, la chimiothérapie, la tumorectomie et la mastectomie. Selon les estimations, plus de 1,3 million de femmes ont eu la poitrine inutilement traitée et / ou enlevée au cours des trois dernières décennies en raison des abus des programmes de dépistage par mammographie et une incompréhension fondamentale en physiologie et pathologie du sein.

Rappelez-vous qu’il faut faire très attention au sur diagnostic et au traitement excessif. Ne succombez pas à la peur…n’acceptez pas sans broncher les pronostics du système médical conventionnel qui sont si puissants qu’ils créent une sorte de malédiction (malédiction médicale) et / ou de prophétie auto-réalisatrice. Lorsque nous sous-traitons notre pouvoir au médecin, nous le considérons comme un prêtre du corps en robe blanche et nous oublions que notre corps a une capacité extraordinaire de se soigner - oui, même les cancers-, nous ne laissons pas l'occasion d'aborder et de résoudre les problèmes.

La clé est de reconnaître que la régression spontanée (c'est-à-dire la régression à médiation immunitaire) du cancer du sein - ou de toute maladie -ne peut être possible que si l'on choisit de faciliter ce processus. Avec une approche qui le facilite, comme l’usage externe des huiles essentielles, mais aussi l’olfaction telle que je la présente dans mon dernier livre “Respirez, Aimez, Guérissez”.

Si vous vivez dans la peur de la maladie et du cancer du sein en particulier, vous devez en premier changer votre état d’esprit et avoir la cohérence de donner les moyens à votre corps de mettre en œuvre tous ses outils de protection. Ils existent, ils sont fiables, utilisez-les !

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