La vraie science et la vraie guérison sont en vous. Ne les oubliez pas

Il faut que je vous raconte une petite histoire vraie qui va vous faire comprendre de quoi je veux parler dans ces lignes.

Il y a deux semaines, nous avons remarqué une grosseur sur le bas ventre de notre chienne de 12 ans. Nous devions la présenter à son tout nouveau vétérinaire, alors nous en avons profité pour lui montrer cette grosseur.

Le vétérinaire🐀

Là, je pause pour vous le décrire parce que ça vaut la peine (il n’y a qu’ici qu’on en voit des comme ça) : la cinquantaine bien sonnée, hyper décontracté, petit anneau d’or à l’oreille, et allure de hippie qui a connu Woodstock. Il soigne les rats mais pas les lapins, et fond devant nos deux toutous.

Bref, le vétérinaire (on l’appelle Doc) regarde et nous dit : “ah ! Je sais ce que c’est. C’est un cancer du sein.”

Il nous explique que chez un chien, le cancer du sein est toujours hormono-dépendant et que comme notre chienne n’a pas été stérilisée, cette grosseur est sans doute un cancer.

(Bon point pour lui, il est contre la chimio). Donc, on va commencer par lui retirer tout ça, inclus ce qui produit les hormones (donc, hystérectomie). Pendant qu’il l’a sous la main, Doc en profite pour aller jeter un œil sur tous ses organes et lui faire des tas d’analyses.

Après l’opération, il vous envoie un texte (avec profusion de smileys) pour nous annoncer ce à quoi il ne s’attendait pas : pas de cancer ! Il était scié ! Notre chienne est l’exception qui confirme la règle. Mais encore mieux : les examens reviennent tous négatifs. Elle n’a rien nulle part malgré son âge. Épaté le doc !

Je me suis dit que vu l’intense vie intime de mon chien, subir une hystérectomie à son âge avancé, ça n’était pas bien grave.

Mais si elle avait été une femme… de n’importe quel âge… à qui on dit : « pas d’enfants ? Pilule toute votre vie ? 55 ans ? vous cochez toutes les cases… c’est sans doute un cancer du sein. Mais c’est pas grave, on va vous enlever ça. »

Et je suis sure que ça arrive tous les jours… J’en connais qui ont même subi des ponctions dans des kystes qui n’existaient pas…

Pour tout vous dire, lorsqu’on a trouvé la grosseur sur mon chien, j’ai tout de suite été vérifier énergétiquement ce que c’était. Et je savais que ça n’était pas grave. Mais suite au verdict précipité, le reste de la famille m’a jeté un œil accusateur en me disant plus tard : tu vois, tu as eu tout faux, c’était bien un cancer !

Alors qu’en fait c’est moi qui avait raison, mais je ne vais pas le leur rappeler toutes les deux minutes.

Bref, tout ça pour vous dire ceci :

Le sur-diagnostic est aussi dangereux que le faux-diagnostic.

Non seulement ça, mais les médecins ont la fâcheuse habitude de prendre des raccourcis avec leurs satanées statistiques (merci la science).

Un de leurs raccourcis préférés est de considérer votre âge et de vous faire culpabiliser de ne pas prendre de médicaments. Parce que "c’est dangereux" de ne rien prendre. Comment ? Vous avez 75 ans et vous ne prenez pas de statines/hypotenseurs/anti -cholestérol ? Mais il faudrait quand même vous y mettre à votre âge… (vous connaissez?)

Mais ça n’est pas de leur faute : rappelez vous qu’ils ne voient que des gens qui viennent se « soigner » chez eux, donc, qui prennent des médicaments à vie, donc, qui sont malades à vie ! Ils ne voient jamais ceux qui préfèrent rester en pleine forme toute leur vie et qui du coup, ne mettent jamais les pieds chez un médecin. Ce sont deux catégories de personnes qui ne se rencontrent jamais, ou, au cours d'une soirée, peut être...

Je connais bien le sujet parce que j’ai parmi mes clients des médecins, des naturopathes, des psychologues, qui viennent me voir pour continuer à ne pas prendre de médicaments.

Ils reconnaissent que s’ils veulent guérir quelqu’un, ils doivent oublier tout ce qu’ils ont « appris » à l’école de médecine.  Inclus qu’il est normal de prendre des médicaments en vieillissant. Pire : inclus d’avoir peur de tomber malade si on ne prend pas de médicaments.

Une des grandes satisfactions professionnelle revient à démontrer, petit à petit, à mes clients, qu’ils n’ont pas besoin de vivre dans la peur de la maladie parce que si quelqu’un veut leur trouver une maladie, on la leur trouvera. Commencez à faire des analyses et vous verrez. Ou alors vous sentez bien que quelque chose ne va pas, mais les analyses reviennent négatives. Les chiffres montrent bien que vous n’avez rien. Votre santé physique et mental dépend de ces chiffres… c’est ça qui fait peur !

Il faut faire très attention au sur-diagnostic et au traitement excessif. Il faut aussi comprendre qu’à force d’accepter sans réserve les pronostics du système médical conventionnel, on les rend si puissants qu’ils créent une sorte de malédiction (malédiction médicale) et / ou de prophétie auto-réalisatrice. Si on vous trouve une maladie alors que vous pensiez le contraire, c’est vous qui aviez tort. Même si c’est de votre corps qu’il s’agit. On vous réduit à cette quantité négligeable pensante, ou pire, intuitive, qui vient tout compliquer.

Lorsque nous sous-traitons notre pouvoir au médecin, nous le considérons comme un prêtre en veste blanche et nous oublions que notre corps a une capacité extraordinaire de se soigner (même les cancers). Surtout, nous ne nous donnons pas l'occasion d’avoir la preuve que nous avons le pouvoir de résoudre nous même nos problèmes. Tant qu’on nous maintient dans un état d’hébétudes soumise et « patiente », il n’y a aucune chance que nous découvrions un jour combien les causes profondes de nos symptômes ne dépendent que de nous pour être dévoilées, et que c’est là, la vraie science et le meilleur médicament qui soit.

Quand allez-vous vous libérer de la peur de la maladie ?

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Cecile Ellert9 Comments