Pourquoi vous aurez plus de chances de guérir grâce aux HE qu’avec des médicaments dans les années qui viennent…
Pour vous situer un peu le sujet, on récompensait Alexandre Fleming pour la découverte de la pénicilline, il y a 70 ans. Déjà à l’époque il savait que l’excès d’utilisation de la pénicilline pourrait entrainer une résistance microbienne. Il a même prédit que la plus grosse menace du futur de venait pas des bactéries, mais de l’ignorance… il avait oublié l’appât du gain.
Ce sont les résultats de l’appât du gain que je vais vous raconter, appât du gain dont nous sommes tous victimes à différent degrés, et donc il est urgent de se protéger si on ne veut pas faire partie des 10 millions de morts prévus d’ici 2050 des suites de la résistance bactérienne aux antibiotiques (c’est quand même 1 personne toutes les 3 secondes, plus que les morts du cancer).
C’est quand même alarmant de ne pas pouvoir se fier aux antibiotiques… on sait tous qu’il y a pas mal de moyens de s’en passer, mais il est des cas où c’est obligatoire, comme dans le cas des poses d’articulations artificielles,
les chirurgies des intestins,
les césariennes,
les chimios,
et les transplantations d’organes.
Donc, les instances publiques sont légèrement prises au piège, parce qu’il est très difficile lorsqu’on a dénigré les méthodes naturelles de ne pas perdre la face en admettant que la réponse n’est pas dans la création de nouveaux antibiotiques mais dans une approche qui respecte notre capital bactérien.
Les bactéries : indispensables pour bien nous protéger des attaques pathogènes
Le 21 septembre 2016 : troisième grand meeting dans l’histoire de l’ONU
Sujet : la résistance bactérienne
Nous sommes confrontés à une menace qui concerne tout le monde, “menace en face de laquelle nous sommes complètement démunis” selon Lance Price, le directeur du centre d’action contre la résistance antibiotique à l’université George Washington.
Alors, il est clair que tous ceux qui ne connaissent pas d’alternative peuvent se sentir démunis… à condition de connaitre la menace en question. Mais vous qui êtes là, vous avez des moyens qu’ils n’ont pas et vous pouvez stopper l’avancée de cette résistance bactérienne
Tout simplement en changeant d’attitude face à l’utilisation des médicaments et en connaissant les alternatives aux antibiotiques chimiques.
Il s’agit de se rééduquer, de savoir quand les antibiotiques sont ou pas inutiles, et pour moi, rien ne remplace d’avoir recours à des huiles essentielles à la fois antivirales et antibactériennes, ce qui vous permet d’agir vite et bien sans avoir à attendre des retours d’analyse et donc, la prise d’antibiotiques pour au cas où…
Pour les sceptiques, j’ai assisté au cours d’une professeur de microbiologie en Angleterre, Valerie Edwards-Jones, justement sur les résultats d’une expérience effectuée avec des huiles essentielles pour montrer leur impact sur des bactéries.
Elle explique que durant l’étude en question ils se sont contentés de saturer un gaz d’HE d’arbre à thé et de lavande aspic et d’en tester les vapeurs… donc, pas de contact avec une souche bactérienne. Ils sont trouvé que c’était suffisant pour inhiber des résistances bactériennes multiples aux antibiotiques.
Cela n’est pas très étonnant quand on sait qu’une huile archi commune mais très puissante, rien ne lui résiste parce que antibactérien, antifongique, antiviral, anti-inflammatoire, analgésique. Antimicrobien majeur, il agit en perforant la membrane des cellules des bactéries, ce qui provoque une fuite de potassium.
Il provoque aussi une inhibition de la respiration par le glucose qu’on voit chez le Staph. doré, E.coli et C. Albicans.
Et puis, j’ai envie de rajouter une chose à laquelle personne ne semble penser : c’est qu’utiliser des huiles essentielles au quotidien, pour soutenir vos organes émonctoires (très surmenés de nos jours), équilibrer vos besoins énergétiques, booster votre moral, veiller à votre équilibre hormonal et soutenir votre immunité, bénéficier de leur protection naturelle anti-bactérienne et anti-virale (tout en vous servant d’antiride dans votre crème de jour) , oui, c’est un bonus qu’un médicament ne vous donne pas !
Bref, Il faudrait plusieurs semaines pour tout vous expliquer sur l’action anti-microbienne des huiles essentielles… et c’est bien pour cela qu’on ne peut pas faire le tour de l’usage clinique des huiles essentielles en une conférence… et qu’il y a AromaPro pour vous donner les moyens de décider de ce qui est le mieux pour vous.
Mais la prise d’antibiotique n’est que le sommet de l’iceberg en quelque sorte, parce que en parallèle, il y a une épidémie de maladie chronique qui fait le bonheur de l’industrie pharmaceutique et qui garanti du travail à tous les médecins, spécialistes ou non.
Si ça vous semble un peu abstrait, regardez autour de vous.
Qui connaissez-vous qui souffre par exemple d’asthme, ou de diabète, d’anxiété, de fatigue permanente, de diabète, de cancer, ou, plus à la mode, d’hypothyroidie… c’est pour ne citer que les plus courantes parce qu’à cette liste on peut en rajouter une autre, celle des maladies dites rares pour lesquelles on ne propose même pas de médicaments.
Si elles sont trop rares, ça n’intéresse personne.
Et j’ai envie de dire, tant mieux pour les malades parce qu’il n’y a de toutes façons pas de traitements curatifs pour les maladies chroniques, alors pourquoi s’intoxiquer pour rien ?