Club Equilibre Naturel - Cécile ELLERT

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La mammographie : ce qu'on ne vous dit pas

Peut être faites vous partie de celles qui, comme moi, ont lu l'article paru dans le Elle de Février sur le dépistage du cancer du sein par la mammographie : "une étude française ébranle nos certitudes... si le dépistage du cancer du sein était un médicament il serait retiré du marché"...

Je ne vous cache pas que ça fait quelques années que je vois apparaitre des techniques de dépistage alternatives à la" mamo" dans le but d'éviter les traumas sur les fibres et les nombreuses erreurs entrainant des biopsies et autres interventions inutiles.

mammo

Je ne vais pas en remettre une couche, mais vous rappeler qu'on ne nous dit pas tout et que vous avez bien d'autres moyens de dépistage à votre disposition, surtout, si vous être en périménopause.

Effet, d'après le Docteur Samuel Epstein, je cite " La mammographie de dépistage comporte de grands risques cumulatifs de cancer du sein chez les femmes en pré-ménopause.”

Mammographie : une pratique dangereuse

La pratique courante, qui consiste en la prise annuelle de quatre mammographies de chaque sein, expose la patiente à environ 1 rad, dose absorbée par rayonnement près de 1 000 fois supérieure à celle d'une radiographie thoracique.

Chez la femme en préménopause, le sein est très sensible à la radiation.

En fait, l'exposition à 1 rad accroît le risque de cancer du sein d'environ 1 pour cent ; à la fin d'une décennie de dépistage, ce risque a donc augmenté, au total, de 10 pour cent pour chaque sein. De plus, ce risque est supérieur chez la jeune femme, candidate au "dépistage de base"."

Pour le Dr Samuel Epstein, la mammographie est inefficace et dangereuse et il vous renvoie à l'examen manuel.

Quoi que vous choisissiez de faire,  gardez bien à l'esprit que le dépistage ne prévient pas le cancer...par contre, travailler sur votre équilibre acido-basique, votre immunité, vos émotions, votre stress peut tout changer.

Étude sur le sur-diagnostic par la mammographie

Mais il faut surtout noter que des chercheurs scandinaves ont réalisé une étude sur la sur-diagnostication des cancers du sein à la mammographie.

En effet, ils ont trouvé que sur 2500 femmes qui se font dépister, 1 sera sauvée d'un cancer mortel et 6 sur 10 seront traitées pour un cancer inerte, inoffensif, qu'on n'aura pas su distinguer d'un cancer dangereux.

Six femmes sur dix subiront la chirurgie, la chimio, les radiations, pour traiter une tumeur qui ne lui aurait causé aucun mal.

Par contre, suite à ce genre de traitement, la patiente ne ressort pas sans séquelles… c'est le moins qu'on puisse dire.

Il a été démontré que la majorité des gens n'est pas intéressée par la prévention mais bien plus par la pilule miracle qui va les guérir, les faire maigrir ou les rendre plus beaux en une minute ! CA N'EXISTE PAS !

Une étude de plus sur les dangers de la mammographie

À l'heure où je viens compléter cet article écrit il y a plus d'un an, le Los Angeles Time publie un rapport au sujet d'une étude canadienne récemment publiée, qui vient encore une fois confirmer les études scandinaves.

Cette étude Canadienne impliquant 90 000 femmes, concerne les mammographies de routine pratiqués tous les ans sur les femmes à partir de 40 ans.

Elle démontre que ce dépistage ne permet pas de réduire les morts par cancer du sein, simplement parce qu'il entraine un surdiagnostique inutile et dangereux.

Le Dr Anthony Miler, épidémiologiste à l'université de Toronto affirme que "nous ne constatons absolument aucun bénéfice en terme de réduction de morts suite à l'usage de la mammographie".

Encore un exemple qui illustre bien l'importance de ne pas avoir une confiance aveugle en l'industrie pharmaceutique, et que l'important est de se donner les moyens de ne pas tomber malade à partir de notre vie quotidienne. C'est tellement plus simple...

Commencez par traiter votre foie, et si la prévention du cancer vous intéresse, assurez vous que vous savez combattre le candida albicans, son parasite jumeau.

Se réconcilier avec sa féminité... c'est aussi bien savoir s'occuper de ses seins !

C'est aussi ce que l'on apprend, dans Santé Intime