Face au stress : où en est votre résilience ?

Entre les risques de burn-out et autres maladies du stress nous sommes constamment menacés par notre style de vie, les demandes de la société et évidemment, ce que nous nous imposons en terme de performance et de culpabilité. Nous pouvons tenir, tant que notre résilience nous le permet.

dormir

dormir

Mais pour combien de temps ?

En fait, nous ne nous arrêtons jamais : les téléphones, écrans en tout genre, connexions diverses s’ajoutent à notre dose normale de stress issue de nos relations avec le boss, les enfants, et le conjoint. Et puis, il y a la vie.

Il s’agit de continuer, coûte que coûte. Il s’agit d’être capable de retomber sur nos pieds. Il s’agit d’être résilient. L’êtes vous?

Difficile à savoir…

En fait, une personne droguée au travail, sur-stressée, au bord du burn-out par exemple, n’est peut être pas en état d’imaginer une seconde de réagir, de s’embarquer sur le chemin proactif d’une attitude anti-stress…il peut lui sembler plus facile de tenir le coup, jour après jour, un espresso après l’autre et à coup de barre au chocolat.

candy cake

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Cependant, alors que la caféine, le sucre et l’alcool peuvent vous distraire de façon temporaire d’un état de dénutrition, ils n’aident malheureusement pas à nourrir votre résilience.

Il ne suffit pas de dire à quelqu’un submergé de stress : « attention, même si tu as l’impression de bien tenir le coup pour le moment, à ce rythme là, ça ne va pas durer. »

Il faut agir à sa place et lui donner les moyens de changer de cap, apporter des solutions tangibles.

  • Commencer par de petites choses : s’arranger pour lui faire prendre une journée de repos, ou une semaine (encore mieux).

  • Lui faire annuler tous ses engagements sociaux, l’obliger à éteindre son téléphone, l’éloigner d’un écran…

L’ennui c’est que la perception que l’on a d’une alimentation saine est complètement aléatoire. Or en cas de stress, il faut absolument agir sur l’état général d’inflammation du corps, et rien n’est plus efficace que d’éliminer pour un temps les plus grosses sources d’inflammation que sont :

pain vin et boursin

pain vin et boursin

L’alcool, le sucre, les produits laitiers et le gluten.

On pourrait y ajouter les additifs, les hormones, les antibiotiques et autres cochonneries dont sont gorgés les produits animaux qui n’ont pas reçu le label bio.

Cette simple action sur le niveau d’inflammation général est suffisante pour créer un changement de point de vue, un changement d’attitude, nourrir une nouvelle créativité, redonner l’envie d’agir pour soi, pour son mieux être.

En un mot, faire sortir le grand stressé de l’engrenage d’auto-destruction dans lequel il s’enfonce, appelant encore plus de toxicité et de manque de vision d’une solution.

La façon la plus simple d’agir contre le stress chronique est de nettoyer votre régime alimentaire en suivant ce qu’un régime anti-inflammatoire vous prescrit (comme le régime anti-candida), nettoyer votre système digestif avec des séances d’hydrothérapie, rétablir votre niveau d’absorption avec des aliments entiers, crus, riches en nutriments capables de nettoyer vos cellules et de leur donner ce qu’elles réclament pour se régénérer et optimiser la fonction de vos organes.

Ce simple changement vous fait vous sentir tellement mieux !

Vous vous sentez progressivement capable de changer de cap, de réagir, de rebondir : vous sentez la résilience monter en vous et prendre le dessus sur le stress.

Vous comprenez un nouveau langage de raison. Tout s’éclaire…

Vous finissez par devenir capable de vous attaquer au plus gros, à ce que vous devez vraiment traiter dans votre vie afin d’y retrouver le gout.

La résilience peut se renouveler grâce à votre alimentation, au mouvement, au repos et à la relaxation.

Pratiquement, rendre la résilience plus forte que le stress, cela peut se résumer à :

choix

choix

Il s’agit du sucre, qui stress les adrénales, le gluten qui déclenche l’inflammation, le soja qui a tendance à déséquilibrer la thyroïde, mais aussi tous les aliments transformés, raffinés, industriels, la caféine, l’alcool et les produits laitiers qui donnent plus de travail à l’organisme au lieu de lui faciliter la tâche.

Nourrir sa résilience revient à aider son corps à fonctionner plus facilement. Donc, à lui épargner ce que l’industrie alimentaire a créé pour augmenter ses ventes mais que votre corps ne sait pas reconnaître comme utile à l’entretien de son énergie.

Et lorsque vous subissez un burn-out, c’est que vous n’avez plus une goutte de résilience à disposition, donc plus une goutte d’énergie à dépenser.

  • Nourrir : après avoir éliminé les sources d’inflammation et de déséquilibres, ayez recours à ce qui va vous nourrir pour de bon.

Bonnes huiles

Bonnes huiles

Un régime de récupération anti-stress est haut en couleur, riche en phyto-nutriments anti-inflammatoires, en bonnes graisses (olive, lin, avocat, noix) pour soutenir l’immunité et l’activité du cerveau, et en protéines de bonne qualité comme le bœuf élevé au pré, le saumon sauvage et la volaille fermière.

Et puis, il y a les ingrédients de la régénération de la flore intestinale : les aliments vivants comme le yaourt et les fibres sources de prébiotiques. Ne les négligez pas...

Vous avez sans doute une expérience à raconter au sujet des moyens que vous utilisez pour vaincre le stress et augmenter votre résilience.

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