Ce que vous devez absolument savoir pour survivre au cancer
Nombreux sont ceux qui se retrouvent écrasés par l'annonce de leur cancer et que la peur tétanise au point de se conformer exclusivement au protocole de traitement fixé par le chirurgien ou l'oncologue.
Heureusement, près de 40% des personnes atteintes d'une maladie grave, chronique, réputée mortelle, se tournent vers la médecine naturelle pour accompagner leur traitement, parce qu’ils savent que leur bien-être, leur résistance physique et mentale en dépendent.
Le seul point sensible sur ce sujet vient du fait que la plupart des praticiens en charge de malades atteints de cancer ne disposent pas des informations qui leur permettent de dire à un patient : "voici ce que vous devez faire en parallèle du traitement pour bien le supporter", ou "voici la liste des compléments alimentaires qui peuvent vous protéger pendant la chimio", ou encore," voici une façon naturelle et sans effets secondaires de vous protéger pendant la radiothérapie..."
En fait, ils ne veulent pas donner de faux espoirs, mais du coup, réduisent souvent le peu d'espoir qui reste.
En effet, ceux qui vous conseillent de ne pas vous tourner vers les médecines douces ou de ne pas vous supplémenter avec des plantes, ne le font que par ignorance, pour ne pas vous faire prendre de risque.
C'est votre confort, vos chances de bien supporter le traitement et d'y répondre au mieux qui sont sacrifiées parce que votre interlocuteur ne sais pas quoi vous répondre. Dans le doute, il s'abstient : ce qui n'est pas idiot, mais dans votre cas, ça ne vous aide pas.
Les approches holistiques à la rescousse
Bon nombre de traitements pénibles peuvent devenir très supportables en étant complémentés par des techniques qui ont fait leurs preuves (acupuncture, aromathérapie, acupression, réflexologie) ainsi qu'une approche détoxifiante et régénérante de votre nutrition, afin de protéger et soutenir vos organes.
Se donner les moyens de guérir du cancer
Donc, vous l'avez compris, il faut se donner les moyens de guérir, d'autant que votre cancer n'est pas arrivé là tout seul, et que si vous voulez vous en débarrasser, il est indispensable de changer dans votre vie ce qui, profondément, a contribué à vous le fabriquer...
Je ne vous parler pas seulement d'arrêter de fumer ou de boire, mais d'adopter une attitude mentale adéquate, couplée d'une nutrition correcte.
Pourquoi ?
Parce que l'une ne peut se faire sans l'autre... En fait, vous ne pouvez pas avoir une attitude mentale positive si votre corps s'intoxique.
Il faut adopter ce que les docteurs Butnaru et Sister appellent "une alimentation soin" qui visera d'abord à décrasser l'organisme en le débarrassant des différentes toxines qu'il a accumulées.
Qu'est-ce qui est à l'origine d'un cancer ?
Bien sur, il y a l'atteinte à l'intégralité de la cellule, et je vais vous en parler.
Mais tout d'abord, je voudrais que vous n'ignoriez pas l'origine psychologique, subconsciente maintenant bien démontrée qui ne va pas déclencher le cancer, mais aider à son développement, voir empêcher le succès d'un traitement.
En effet, il suffit qu'un événement réveille une blessure traumatique ancienne (l'abandon par un parent par exemple, un viol, l'inceste, un accident) pour que le corps se souvienne et revive en profondeur ce trauma.
L'effet sera une réponse profonde au stress, avec toutes les répercussions physiologiques qui en découlent : mise en sourdine du système immunitaire, du système digestif et des émonctoires...ce qui n'aide pas à revitaliser l'organisme, bien au contraire.
Cet état de veille, en ralentissant ce qui dépollue et nourrit l'organisme, va permettre au corps de se mettre dans une situation d'autodestruction cellulaire.
Car, il y a deux phases qui amènent au cancer.
Il y a d'abord tout ce qui modifie l'ADN d'une cellule, c'est à dire la programmation qui va codifier sa façon de se reproduire, de se régénérer :
les radiations,
les virus,
les produits chimiques,
les macromolécules bactériennes et alimentaires qui ne sont pas filtrées correctement au niveau de l'intestin grêle, le stress externe et endogène producteur de radicaux libres, de même que celui produit par nos propres pensées destructrices.
Au départ, l'ADN endommagé ne va pas, à lui seul, provoquer un cancer, parce une cellule saine est souvent capable d'éviter la cancérisation d'une autre cellule en agissant pour freiner sa prolifération.
Si une cellule détecte un ADN déficient ou endommagé, elle procédera à l'élimination de la partie dangereuse de la cellule affectée. La cellule amputée se répare, et peut retrouver sa fonction normale.
Mais dans son effort de nettoyage, la cellule utilise de l'énergie et relâche des radicaux libres capables de léser les divers constituants de la cellule, en particulier, l'ADN. Nous nous trouvons un peu devant un cercle vicieux...
Parallèlement, une accumulation de déchets intracellulaire empêche la cellule saine et la matrice extra-cellulaire d'agir sur les cellules en cours de cancérisation ou cancéreuses. La partie endommagé de la cellule n'est pas éliminée et la cellule devient cancéreuse, transmettant son ADN altéré à d'autres cellules qui vont participer à la cancérisation de l'organisme.
Que sont les déchets intracellulaires ?
La cellule a besoin d'énergie pour fonctionner, et après avoir utilisé cette énergie, elle produit des déchets qui seront traités par d'autres cellules dont le travail est de tout nettoyer.
Mais si les cellules nettoyeuses sont surchargées de travail, il se produit une accumulation de déchets qui enlise la cellule et l'empêcheront de se régénérer correctement. D'autre part, certaines macromolécules étrangères, entrées à l'intérieur de la cellule, vont progressivement gêner, voir bloquer son fonctionnement normal.
C'est là qu’apparaît la phase 2 de la cancérisation : la reproduction anarchique, incontrôlable de la cellule.
Une tumeur se développe alors, et peut s'étendre d'une partie du corps à une autre, selon le type de cancer. Plus le cancer s'étend, plus il est dangereux et difficile à éradiquer.
D'autres travaux ont montré que certaines molécules pouvaient pénétrer dans la cellule, aller dans le noyau, se lier à l'ADN et altérer son fonctionnement.
Quoiqu'il en soit, si notre système immunitaire est équilibré, les cellules malignes devraient rapidement être détruites par les lymphocytes TCD8.
Le lien entre l'alimentation et le développement du cancer
Certains cancers ont vu leur apparition ou leur fréquence être directement fonction d'un pays, distinct des autres par son niveau culturel et économique, donc, sa culture alimentaire.
En effet, dans la majorité des pays développés, où l'alimentation est très influencée par l'industrialisation des produits et la mondialisation, la moitié des cancers concerne les poumons, les seins, le colo-rectum et la prostate, alors que ces tumeurs sont très rares dans les pays en cours de développement.
Par exemple, une femme japonaise risque moins de développer un cancer du sein qu'une femme américaine.
Mais si elle émigre aux Etats-Unis et adopte le mode d'alimentation local, sa descendance aura les mêmes chances de développer le cancer du sein que la population américaine locale.
Aujourd'hui on a fait le lien entre :
Cancer de l’œsophage et alcool plus tabac, carences nutritionnelles,
Cancer de l'estomac et graisses saturées,
Cancer du colon et du rectum et viande, graisses saturées, produits laitiers, bière, produits fumés,
Cancer du pancréas et viandes, graisses saturées, café,
Cancer de l'ovaire, de l'utérus, de la prostate et graisses saturées,
Cancer du sein (mortel une fois sur trois) et viandes, graisses saturées.
(Il s'agit de viandes et graisses saturées cuites).
Pour revenir aux japonaises, elles mangent très peu de viandes et de graisses saturées, mais beaucoup de poisson cru, de fruits, légumes, fruits et produits lacto-fermentés comme la miso et la sauce de soja qui sont des protecteurs du cancer.
Chez elles, le cancer du sein reste bien moins fréquent qu'aux Etats-Unis, pays du bœuf au barbecue et de la graisse hydrogénée.
De plus, les japonaises ont tendance à être plus menues que la moyenne des américaines qui elle, a du mal à contrôler sa masse graisseuse. Or, à la masse graisseuse d'une femme correspond une production hormonale proportionnelle, et nous savons que le cancer du sein est, 70% des cas, hormono-dépendant au départ.
Cependant... cela n'est pas une condamnation. C'est juste une prédisposition. Une prédisposition que vous rendrez inoffensive si vous nettoyez votre vie de tout ce qui risque de déclencher le risque.
Candida: sa responsabilité dans le développement du cancer
Il y a donc tout un ensemble de paramètres à considérer dans la prévention et le combat des différents cancers, mais dans tous les cas, une approche holistique complémentaire à la médecine traditionnelle est à considérer fortement. Vous en trouverez une ici. Cliquez pour découvrir l'aromathérapie du cancer.
Enfin, il me parvient de plus en plus d'informations qui relient le développement du candida avec celui du cancer.
Le candida se manifeste dans toute sa splendeur pendant les séances de chimiothérapie.
Pour tout savoir sur cette infection silencieuse et sournoise, cliquez ici. Vous comprendrez alors pourquoi il est indispensable de commencer votre traitement anti-cancer par un régime anti-candida. Candida et cancer se développent au dépend de votre immunité, jusqu'à vous laisser sans moyens de vous défendre contre les envahisseurs pathogènes.
Votre première mission est de vous donner les moyens de combattre la progression du cancer, et ce, en donnant des forces à votre immunité.
Je vous explique tout à ce sujet ici.
Maintenant, je peux vous confier le plus terrible : ne vous laissez pas convaincre de passer sous les griffes de la chimio. Les chiffres montrent aujourd'hui que ceux qui survivent à la chimio succombent à ses effets secondaires dans les 15 ans, quand ils n'ont pas développé d'autres cancers comme le cancer des os par exemple, dont ils ne se relèvent pas.
Je sais, cela fait des années que tout le monde est conditionné à penser que la chimio est la seule voie curative "anti-cancer", que nous pouvons la complémenter avec des méthodes alternatives, mais surtout, nous ne pouvons pas la déconseiller.
Cependant, je vous renvoie à votre bon sens et à votre jugement personnel pour faire la part des choses si je vous dis que :
- lorsque le système immunitaire est fort, les cellules cancéreuses qui se reproduisent naturellement dans notre organisme tout au long de notre vie, sont éliminées et empêchées de se multiplier de façon anarchique.
- Une personne qui développe un cancer souffre de déficiences nutritionnelles qui peuvent provenir d'une programmation génétique mais aussi de leur environnement, de leur alimentation, de leur style de vie.
- La chimiothérapie revient à procéder à un empoisonnement des cellules cancéreuses, empoisonnement qui concerne aussi les cellules saines, et par conséquent les organes encore sains de l'organisme (foie, reins, cœur, poumons etc...).
- Un traitement initial à la chimiothérapie peut faire réduire la taille d'une tumeur, mais son utilisation prolongée ne servira qu'à compromettre la force de l'immunité et rendra la personne malade prête à succomber à toute sorte d'infections et de complications. J'ai bien dit "succomber". La chimio va peut être vaincre votre cancer (temporairement)... mais vous allez y passer aussi... la plupart des cancéreux meurent des suites de leurs traitements.
J'ai même le cas d'un petit garçon qui après 5 ans de traitements en tous genres pour soigner sa leucémie a fini par mourir parce que son cœur a lâché. Il n'avait pas 6 ans.
La meilleure façon de vaincre le cancer se calque vraiment sur la meilleure façon de vaincre le candida : il faut le faire mourir de faim, lui enlever ce qui l'aide à se développer. Pour le candida, c'est toute sorte de sucre, d'hydrate de carbone et de produits chimiques... Pour affamer le cancer, je vous explique tout, ici