AROMATHERAPIE POUR COMBATTRE LES EFFETS SECONDAIRES DE LA CHIMIOTHÉRAPIE et agir là où rien d’autre n’agit…
Je ne vais pas le cacher : je ne suis pas du tout une pro-chimiothérapie. D’ailleurs, je vous donne mes raisons ici.
Mais je peux comprendre que les circonstances ne permettent pas à tout le monde d’avoir accès à mieux, c’est à dire, à un traitement efficace et non toxique (ce à quoi il serait logique de pouvoir prétendre lorsque déjà on souffre d’un cancer).
Oui, la chimio n’est pas l’idéal, mais comme les médecins n’ont pas le droit de vous proposer autre chose, vous pouvez vous retrouver coincé avec.
Donc, pour ceux qui sont pétris par la peur de la maladie, de la mort, de la souffrance, de la solitude et qui du coup, ne sont pas du tout en état de se mettre à dos toute une équipe médicale culpabilisante et menaçante s’ils réclament une alternative, voici de quoi arrondir les angles de votre traitement grâce aux huiles essentielles.
Garder le corps "en état" de fonctionner
La chimiothérapie, combinée à la dépression et au stress qui accompagnent les protocoles de traitement prolongés, compromettra le système immunitaire de malade. Ce n’est pas un secret. Or, il est particulièrement difficile d’avoir les moyens de combattre un cancer sans une bonne immunité. Garder le corps (et les émotions) « en pleine forme » pendant les périodes de traitement et de récupération, est crucial pour éviter de devenir sujet à de nombreuses infections et autres maladies.
C’est pourquoi, l'application quotidienne d'un mélange aromatique bien pensé est le meilleur moyen de prévenir l'épuisement du système immunitaire, tout en étant anti-tumorale.
Attaquer la tumeur
Un des challenges dans le traitement des cancers avec des produits chimiques, des herbes ou des huiles essentielles est d’amener la substance soignante sur le site de la tumeur, dans une concentration suffisante pour être efficace. En effet, lorsque l’on donne de hautes doses d’alcool de perillyl sous la forme d’HE de citron ou de limonene (2 à 14 grammes par jour) oralement, on provoque des vomissements qui ruinent toute l’opération. Par contre, les vapeurs inhalées via un nébulisateur, ne provoquent aucun effet secondaire.
C’est ce qui a été expérimenté au Brésil pour traiter des cancer du cerveau.
Le traitement était très simple : inhaler 55 mg d’alcool de perillyl quatre fois par jour via un nébulisateur, pendant plusieurs mois. C’est à dire, 220 mg par jour ; soit, 64 fois moins que la dose orale d’origine, et sans effets secondaires.
Une raison pour laquelle cela fonctionne est que les constituants chimiques inhalés sont absorbés via la muqueuse nasale et le bulb olfactif directement dans le cerveau, donc, accès direct sur la cible !
Ce genre de traitement a été mis au point pour le neuro chirurgien Clovis Da Fonseca et vous trouverez ses recherches, avec photos avant-après, sur Da Fonseca et al 2006 ; 2008, 2011. 20% de ses 500 patients avec cancer du cerveau ont eu une régression, ce qui est fabuleux quand on sait que la plupart de ces malades s’étaient lancés dans l’aventure en n’ayant plus rien à perdre puisqu’on leur avait annoncé un stade terminal de la maladie, et quelques mois à vivre. Certains sont encore là plus de 10 ans plus tard.
Un mélange typique, pour tout cancer, peut contenir ravensara, arbre à thé, lavande aspic, bergamote, amande amer et diverses huiles de thym, mais dans tous les cas, de l’encens d’oliban.
L'encens d'oliban : l'huile essentielle qui vient de loin
Depuis plus de 5000 ans, l'encens a de nombreux usages vitaux qui vont bien au-delà de ce qu’on attend de la part du simple huile essentielle. Il était utilisé pour soutenir le système immunitaire, combattre l'infection et guérir les maladies, même en tant que traitement naturel potentiel contre le cancer.
Aujourd'hui, les avantages les plus communs de l'encens incluent :
Réduit l'inflammation,
Contient des propriétés potentielles de lutte contre le cancer,
Augmente la conscience spirituelle,
Augmente l'immunité,
Combat les infections,
Améliore l'anxiété,
Soigne la peau et réduit l'acné et les cicatrices.
Des recherches menées par l'Université de Leicester au Royaume-Uni ont relancé la théorie selon laquelle les «hommes sages» n'apportaient pas seulement la richesse à Jésus, mais la médecine «démontrait le potentiel de traiter le cancer de l'ovaire avec l'encens.
Pour de nombreux patients atteints de cancer, il y a un moment où le traitement devient pire que le cancer lui-même. C'est à ce stade que la qualité de vie et la suppression des symptômes sont le point de mire.
Prenez, par exemple, les patients atteints de cancer du cerveau qui souffrent d'œdème cérébral (gonflement de la tête) après avoir irradié leurs tumeurs.
Typiquement, ces personnes sont traitées avec de la dexaméthasone et d'autres corticostéroïdes pour contrôler le gonflement, mais cela se fait à grands frais car les complications mortelles des stéroïdes sont illimitées.
Ces personnes, déjà en mauvais état au départ, souffrent de la surcharge toxique des médicaments qui sont censés les aider en premier lieu. Ils sont condamnés à avoir des maux de tête, des migraines et peuvent même faire face à une vision floue à cause des traitements stéroïdiens.
Heureusement, l'encens offre une solution naturelle et viable à cet horrible problème. En 2011, la revue Cancer a publié les résultats d'un essai clinique de 44 personnes évaluant comment l'enflure du cerveau a été effectuée par l'huile essentielle d’encens.
Et bien, sachez que 60 pour cent des patients ont montré une réduction de 75% ou plus du gonflement cérébral après avoir été traités avec 4.200 milligrammes par jour d'encens.
Ces résultats sont si importants que les scientifiques exhortent la communauté médicale à envisager de prescrire cette huile essentielle puissante au lieu de stéroïdes pour les patients atteints de cancer affectés à un traitement de radiothérapie.
Alors espérons que cela se propage comme une traînée de poudre dans les cercles de traitement du cancer. Qui sait ce qui pourrait arriver si plus de gens utilisaient cette huile d'encens comme une approche de traitement naturel contre le cancer...
Conserver un peu d’énergie
Le soutien des glandes surrénales est crucial pendant cette période, car les surrénales libèrent nos hormones de stress «combat ou fuite». Le géranium, le basilic, le pin et l'épinette tonifient les glandes surrénales.
Moins subir les nausées
La simple inhalation de quelques gouttes de gingembre, de fenouil doux ou d'huile de menthe bergamote peut rapidement offrir un soulagement complet des épisodes de nausée.
Ces huiles peuvent également être utilisées dans un massage abdominal léger pour le même effet.
Il peut être nécessaire de changer fréquemment la sélection des huiles essentielles utilisées car les préférences d'odeur changent souvent de façon drastique pendant le traitement de radiothérapie et de chimiothérapie.
Un arôme qui est bien toléré une semaine peut être ressenti comme complètement désagréable le lendemain.
Voici une suggestion de mélange aromatique qui soutient l’immunité, protège des infections bactériennes si fréquentes dans les hôpitaux, et surtout, soutient émotionnellement, remonte le moral autant que faire ce peu, et parfume agréablement.
Sur 50 ml d’une crème légère à masser sur les pieds et les mains, plusieurs fois par jour (même un enfant) :
10 gouttes d’HE de Lavande aspic,
5 gouttes d’HE d’Encens d’oliban,
3 gouttes d’HE de Rose otto,
10 gouttes d’HE de Citron.
Dans tous les cas, si vous souffrez de cancer (et surtout, suivez une chimio), protégez-vous avant tout du stress !
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