Vaccin Gardasil contre le papillomavirus : attention danger
Dès que j'ai vu la première pub pour le vaccin Gardasil dans un magazine américain il y a quelques années, j'ai hurlé !
Je me suis tout de suite dit "voilà encore une énorme fumisterie de la part de l'industrie pharmaceutique". A l'heure où tous les jeunes doivent se protéger des maladies sexuellement transmissibles avec un préservatif, on les "soit disant vaccine" contre le cancer de l'utérus, alors qu'il ne s'agit que de prévenir l'infection par papillomavirus, maladie sexuellement transmissible très courante (sauf lorsque l'on met un préservatif) qui favorise l'apparition de cellules précancéreuses sur le col. Ils avaient bien trouvé là le moyen de faire réagir les parents, avec leur "vaccin contre le cancer du col". Combien sont ceux qui, après trois injections, se croient protégés, oublient le SIDA et pensent qu'il n'est plus nécessaire de mettre un préservatif ?... C'est vrai quoi, ils ont eu un vaccin oui ou non ? Rappelez vous une bonne chose : la meilleure protection reste la capote et une bonne immunité.
Alors que l'école organisait des journée de vaccination, j'ai empêché ma fille d'y aller. Je reçois régulièrement des témoignages de mères qui n'ont pas assez de leur vie pour se mordre les doigts d'avoir fait vacciner leur fille.
Je vous fais suivre ce témoignage parce que la maman d'Elisa le demande, suite à cette lettre, afin d'alerter les autres parents. C'est la maigre compensation qu'on puisse lui offrir considérant ce qu'elle doit aujourd'hui subir en voyant sa filles handicapée.
Je la laisse parler.
Changements dramatiques dans la vie de ma fille après le Gardasil
Par Dollie Duckworth, 13 octobre 2013
Alisa est ma fille.
Bien qu’elle ne soit plus toute petite, elle restera toujours ma princesse. Au cours de toute sa jeunesse, Alisa a été en parfaite santé. Elle était heureuse et très active. Elle aimait essayer de nouvelles choses et fréquenter ses amis. Elle aimait la photographie, la pêche, le vélo, le canotage, les randonnées pédestres, les arts martiaux, la musique (surtout son violon), la natation. Elle aimait aussi beaucoup les animaux. Elle a remporté des prix pour ses photographies…
J’étais une mère inquiète et j’avais peur qu’elle ne contracte le cancer du col de l’utérus. A l’époque, nous étions bombardés de publicités et d’annonces pour que les filles se fassent vacciner. Quand on m’a proposé de faire vacciner ma fille, j’ai évidemment accepté. Mais, on ne m’a jamais parlé d’effets secondaires ou d’autres problèmes. J’en ai donc conclu que ça devait être un vaccin sûr. Et c’est ce jour là que notre cauchemar a commencé.
C’est le 14 août 2007 qu’Alisa a reçu son premier vaccin (lot # 0384U) – Quand Alisa est rentrée à la maison, le site d’injection était rouge, gonflé, douloureux et ça la démangeait. Elle ne se sentait pas bien. C’était un peu comme si elle faisait une grippe. Elle dut tenir le lit pendant plusieurs jours. Le médecin nous a dit que tout était normal. Dans les mois qui suivirent, j’ai remarqué qu’elle se plaignait de douleurs articulaires et musculaires. Elle faisait des siestes très longues et avait des maux de tête. J’ai mis tout cela à l’époque sur des problèmes de croissance.
Le 1er novembre 2007, Alisa reçut son deuxième vaccin (Lot # 0927U) – Elle n’était pas très enthousiaste pour ce nouveau vaccin. Elle avait même tellement peur de se sentir à nouveau mal. Effectivement, cette fois le site d’injection redevint rouge, irritant, douloureux, mais cette fois le gonflement était nettement plus important. Elle était à peine rentrée à la maison qu’elle alla se coucher. Elle ne put se rendre à l’école pendant plusieurs jours à la suite d’un état style grippal. Peu à peu elle émergea de cet état, bien qu’elle avait toujours mal dans tout le corps : les muscles et les articulations n’étaient que douleur. Elle avait aussi de sérieux maux de tête. Elle était tout le temps épuisée. Il lui était difficile de trouver la force pour faire quoi que ce soit.
Le 14 février 2008 (Lot # 12 APR10). Cette fois, elle était terrifiée. Elle a pleuré tout le chemin me suppliant de ne pas lui faire faire ce vaccin. Quand je repense à cela, ça me brise le cœur parce que je revis tellement cruellement la scène. Je n’arrêtais pas de lui dire que c’était la dernière injection et que je ne voulais pas que les deux premières injections soient inutiles. Je n’arrêtais pas de lui dire que c’était pour son bien.
Mais quand nous avons quitté le bureau du médecin, elle vomissait, tremblait, avait de la fièvre. Elle souffrait de douleurs musculaires et articulaires. Ses maux de tête reprenaient. Elle fut épuisée, anéantie pendant près d’une semaine.
Après qu’elle eut reçu ses trois vaccins, j’ai commencé à réfléchir. Je me rappelle qu’à CHAQUE visite chez le médecin ou à l’hôpital, on me demandait si Alisa avait bien reçu tous ses vaccins. Et je répondais qu’elle avait même reçu la série du Gardasil. Pas un seul médecin n’a commenté quoi que ce soit ou établi des liens. Ce sont des amis et des membres de la famille qui ont finalement mis le doigt sur la cause de sa maladie.
Plusieurs me demanderont pourquoi j’ai continué à la faire vacciner. J’avais cependant pris la précaution d’appeler les médecins chaque fois qu’elle avait présenté toutes ses réactions. Ils ont toujours dit que c’était tout à fait normal, que ces réactions étaient « mineures » : gonflements, douleurs, démangeaisons, vertiges…
Après tout c’était quand même un vaccin !!!
Les médecins m’ont dit aussi que jamais PERSONNE n’avait présenté les symptômes de la grippe à la suite du vaccin. Elle devait donc avoir attrapé la grippe quelque part. Quand on a discuté de la troisième dose, le médecin a insisté pour nous faire comprendre que sans la troisième dose, la vaccination serait inutile. Nous faisions confiance à ce médecin depuis 15 ans. Il ne nous avait jamais mal orientés, avait toujours bien pris soin de nous et nous avait toujours traités de manière équitable. Comme mon grand-père était médecin, que j’avais des tantes infirmières et que je travaillais dans les milieux médicaux, je n’ai pu que faire confiance. Il ne me serait jamais venu à l’idée qu’ils pourraient se tromper.
La vie d’Alisa a continué mais sans sa vitalité habituelle. Elle n’avait plus beaucoup d’énergie, elle dormait beaucoup, n’allait plus nager. Elle passait beaucoup plus de temps sur son ordinateur. Elle me disait que son corps lui faisait mal et qu’elle n’avait envie de rien. Je ne puis plus compter le nombre de rendez-vous et de visites médicales de toute cette époque. J’ai finalement réclamé tous les documents des hôpitaux et cliniques, ainsi que de la personne qui lui a administré les premiers soins.
En octobre 2009, nouvelle visite aux urgences pour des problèmes oculaires. Il y avait du sang dans son œil droit et elle sentait une pression derrière l’œil. Elle avait aussi des problèmes d’élocution et des maux de tête. On est donc sortis avec un traitement et avec le conseil de voir un neurologue. Alisa dut subir plusieurs tests à l’hôpital. Suite aux symptômes qu’elle présentait, (paralysie de Bell, migraine, vision trouble, acouphènes, problèmes d’équilibre, engourdissements du côté droit, impossibilité de marcher, troubles de la déglutition, fatigue, douleurs articulaires, difficultés à ouvrir la bouche, elle fut transférée dans un hôpital pour enfants. On lui a fait faire des tests pour voir si elle n’avait pas fait un AVC, elle a dû passer des scanners, des IRM, subir des ponctions lombaires. La semaine suivante, sont état a continué de s’aggraver. Evidemment, des psychiatres sont intervenus pour s’assurer qu’elle n’avait pas été victime d’abus.
A cette époque, il nous était encore difficile d’imaginer qu’en fait, elle avait bel et bien été abusée par la compagnie pharmaceutique. Elle quitta finalement l’hôpital sans que l’on puisse nous expliquer la moindre cause de ses problèmes. Les médecins l’autorisèrent à reprendre les cours à l’école, mais les bruits, les médicaments et la lumière lui provoquaient de tels maux de tête qu’elle tombait dans des crises d’anxiété. Elle put suivre les cours pendant un trimestre puis dut abandonner l’école ; c’était trop pour elle. (Elle a cependant passé son GED en décembre 2011)
Au cours des années qui ont suivi, la situation qu’elle avait connue s’est encore reproduite deux fois : paralysie du côté droit, chaise roulante, nouvel apprentissage de la marche, mais cet exercice l’épuise tellement qu’elle préfère rester dans sa chaise roulante pour épargner le peu d’énergie dont elle dispose encore.
Ses effets secondaires semblent augmenter en quantité et en intensité. Alisa a souffert des problèmes suivants : intestin poreux, douleurs aiguës dans les extrémités, vertiges, saignement des gencives, maux de dents, obscurcissement cérébral, sensibilité aux produits chimiques, douleurs thoraciques, constipation, déshydratation, hypertrophie du foie, sensibilité aux sons, anxiété, douleur extrême dans la région du coccyx, évanouissements, fièvre, cloques, fibromyalgie, syndrome de Guillain Barré, symptômes autistiques, faiblesse dans les mains et les jambes, maux de dos, intolérance au chaud et au froid, troubles du sommeil, démangeaisons, douleurs articulaires, douleurs aux genoux, sensibilité à la lumière, dépression, changements de personnalité, crises de panique et d’anxiété, perte de contrôle de la vessie, douleurs musculaires et spasmes, tumeur, pâleur, syndrome de fatigue chronique, paralysie, pneumonie, essoufflement, troubles de l’élocution, diarrhée, maux de gorge, maux d’estomac, œdèmes, tremblements des mains et des jambes, tic des extrémités, ballonnements, spasmes utérins, perte de cheveux, infections des voies urinaires, problèmes rénaux, perte temporaire de la vision, dyslexie, hallucinations, vomissements de sang, nausées, éruptions cutanées, perte d’appétit, perte de poids.
Alisa est maintenant incapable de faire quoi que ce soit sans surveillance. Elle ne peut prendre une douche qu’assise sur une chaise. On doit la surveiller sans arrêt car ses crises arrivent sans préavis. Elle est souvent désorientée après ses convulsions.
Alisa était totalement anti tabac et anti drogues. Aujourd’hui on lui prescrit médicalement de la marijuana. C’est la seule chose qui peut la soulager quelque peu. Ses douleurs sont permanentes, mais la marijuana les rend plus tolérables. Malheureusement ce type de calmant n’est pas couvert par l’assurance médicale. Et les 1200 $ par mois doivent sortir de notre poche.
Ce vaccin a radicalement changé notre vie de famille. Alisa doit tous les jours se battre pour sa vie. Nous trouvons encore plus terrible de ne pas pouvoir l’aider davantage et de ne pas pouvoir trouver un remède pour guérir ses symptômes. Il est désespérant de voir son enfant souffrir comme cela et de ne pas être en mesure de pouvoir vraiment l’aider. Je me sens coupable parce que mon enfant souffre à cause d’un choix que j’ai personnellement fait. Je pensais lui venir en aide et au lieu de cela ma décision a entraîné tous ses handicaps. J’aurais tellement voulu que quelqu’un me prévienne, m’avertisse.
Je vous en prie, aidez-moi à diffuser cette information au sujet du vaccin. Dites à tous ceux que vous connaissez tout ce que vous savez par rapport aux dangers du vaccin. Rassemblez un maximum d’information avant de vous faire vacciner. Ce vaccin fait du mal à des milliers de filles et maintenant il fait aussi du mal aux garçons. Il faut absolument que ce vaccin soit retiré du marché. Le nombre des enfants touchés augmente chaque jour.
(Note : Cet article a d’abord été publié sur HormonesMatter.com)
Vous trouverez d'autres informations sur les effets pervers des vaccins ici,
Ce témoignage ne peut pas laisser de glace... vous avez sans doute quelque chose à dire, non ? Si oui, les bloc commentaires vous attendent.