Bien que le domaine de la psychoneuroendocrinoimmunologie ait émergé dans les années 1970, il a fallu plusieurs décennies pour que le concept de communication bidirectionnelle entre le système immunitaire et le système nerveux central retienne l'attention générale en médecine (Ader et al, 1995; Glaser et Kiecolt-Glaser, 2005)

Il existe maintenant un nombre impressionnant de preuves pour soutenir l'idée que des déséquilibres immunitaires se produisent en réponse à un stress à la fois psychologique et physique et que la dérégulation du système immunitaire est considérée par beaucoup comme un élément clé des troubles psychiatriques tels que la dépression majeure.

Au cours de la dernière décennie, l'axe cerveau-intestin est devenu un centre d'intérêt croissant de la recherche en neurosciences, et un grand volume de données indique que le système immunitaire est une voie de communication majeure entre les microbes intestinaux et le cerveau.

Cette communication joue un rôle important dans les psychopathologies issues du au stress, mais aussi toutes les autres pathologies, parce qu’il ne faut pas minimiser l’implication du stress dans l’apparition de grands déséquilibres dégénératifs comme le cancer.

Quand on vous dit que tout vient du ventre, c’est bien le cas ici.

On a fait le lien entre le stress chronique et l’apparition de l’intestin hyperperméable, mais on a aussi compris que derrière un intestin hyper perméable il y a un cerveau qui fuit.

Alors, que faites vous pour éviter le stress chronique de s’installer?

Vous apprenez à correctement diluer vos huiles essentielles pour profiter de leur action sur le subconscient et vos émotions.

Et si en plus, vous souhaitez éviter le stress chronique tout en vous protégeant de l’épidémie de Covid 19, vous choisissez les huiles essentielles anti-virales qui ont en plus un effet sédatif sur le système nerveux central et qui soutiennent le système nerveux parasympathique.

En voici quelques unes : angélique racine, bergamote, camomille matricaire, encens d’oliban.