Les médicaments sont dangereux

J'en parle, mais pas assez : la médecine nous tue, comme le dit Marc Menant dans son livre, et les chiffres le prouvent car des milliers de personnes meurent d'une maladie provoquée par des médicaments tous les ans.

En France, où il n'est pas encore dans les mœurs de poursuivre un praticien en justice, ces faits sont restés longtemps dans l'ombre. Mais aujourd'hui, certains osent le dire tout haut : oui, les médicaments tuent, et il faut savoir que la complexité des nouveaux traitements mis sur le marché nous rendent encore plus vulnérables aux effets indésirables de la chimie de synthèse.

Les consommateurs ont trop bien adoptés les médicaments : ils en consomment tant qu'ils pensent maîtriser la situation et en disposer comme bon leur semble

Quand je vois le comportement de la plupart, j'ai la sensation que pour certains les médicaments sont "virils", parce que "actif", "puissant", "efficace", "rapide", que si on dispose de tout ça, pourquoi s'abaisser à utiliser des moyens "moins fiables" à cause d'un effet moins fulgurant, plus doux, sans risques ou effets secondaire...

Cela peut paraître incongru, mais il est tentant de mettre sur le compte de l'"ego" cette tendance qu'ont certaines personnes, surtout des hommes, à refuser la méthode douce, au point de ne pas vouloir risquer de changer d'avis en essayant et en se rendant compte que ça marche aussi bien que le médicament ! Les uns et les autres ont étés de toutes façons éduqués à penser que pour avoir des résultats, il faut de la chimie, voir, "il faut souffrir", avoir le risque du revers de la médaille, donc, les effets secondaires.

C'est un peu comme les chinois ici et le Tuyna : c'est leur technique de massage favorite : on vous frotte avec un manche de cuillère en bois là où vous avez mal (et vous avez mal, ça s'entend dans toute la clinique), pendant que le praticien écoute la radio pour penser à autre chose pendant que, mécaniquement, il s'applique à la tâche et qu'un assistant vous retient de trop gigoter. Vous ressortez de toutes les couleurs, couvert de bleus. Cela marche bien, la plupart du temps, mais il faut être capable de supporter le traitement. Et bien du coup, pour un chinois, il est admis communément que si le traitement ne fait pas mal, il n'est pas efficace.

La grande différence avec la prise de médicaments, c'est que les effets secondaires du Tuyna se limitent à des bleus pendant quelques jours... et les patients ne risquent pas de s'en remettre une couche une fois rentrés à la maison.

Ce qui n'est pas le cas des patients en France !

En effet, les patients qui croient avoir affaire à un remède bénin pratiquent l'automédication en doublant les doses pour accélérer la guérison, ou, parce qu’ils ont eu de bons résultats avec tel médicaments le prêtent à leur voisin qui souffre d'une affection comparable.

Le médicament a été vulgarisé, domestiqué au point qu'on oublie qu'il est un produit chimique que le corps doit métaboliser parfois à grands frais.

Dans le domaine des maladies provoquées par le praticien (les maladies iatrogènes), les informations sont floues : il s'agirait de 100 000 personnes touchées chaque année et de plus de 15 0000 décès, ainsi que plus d'un million de jours d'hospitalisation (aux frais de qui ?). Entre le coût des consultations, des médicaments, des hospitalisations, des jours d'arrêt de travail, des rentes d'invalidité et des handicaps à vie pris en charge par la sécu, on réalise que le coût des maladies générées par les médicaments est considérable... alors que selon la synthèse de 5 études réalisées en France 30 à 50% de ces cas seraient facilement évitables.

Je pourrais ajouter personnellement à ce sujet que, de mon côté, ayant encore à réparer les dégâts laissés par des traitements médicamenteux, (n'utilisant aujourd'hui aucuns médicaments), j'ai des années d'expériences qui prouvent qu'on peut s'en passer rien qu'en pratiquant une prévention active avec des produits d'une totale innocuité couplés de règles de base cohérentes avec une bonne hygiène de vie (ce qui signifie souvent se mettre malheureusement en marge de ce que nous dictent l'industrie alimentaire et l'industrie pharmaceutique ). Il ne faut pas se le cacher : les médicaments rendent malade, et on ne nous le dit pas. Il faut cesser de faire une confiance aveugle aux laboratoires pharmaceutiques pour lesquels la santé publique n'est certainement pas une priorité, qu'on se le dise.

Notre corps n'a pas été programmé pour supporter des médicaments

Pour donner un exemple, je vais faire un parallèle avec ce que je connais bien : les huiles essentielles. L'industrie pharmaceutique connaît l'action des huiles essentielles sur tous les systèmes de l'organisme. Mais l'extraction des huiles essentielles est un art, la manipulation d'une substance vivante et vibratoire. On a essayé de fabriquer des huiles essentielles synthétiques, on a reproduit leur odeur, c'est très pratique pour l'industrie du parfum ou la grande consommation, mais il est impossible de tirer un quelconque bienfait thérapeutique d'une huile essentielles synthétique: c'est un produit mort, inerte, dépourvu de vibrations énergétiques et de principes actifs. Elle se résume à n'être qu'un produit toxique impropre à la consommation.

C'est exactement la même chose en ce qui concerne un médicament allopathique : de part de leur extraction essentiellement synthétique, ils représentent un défit pour l'organisme animal et particulièrement humain.

Les effets délétères observés sont :

  • une toxicité propre à la molécule envers un ou plusieurs organes (en général, le foie n'y échappe pas),

  • une réaction allergique qui stimule de manière inappropriée le système immunitaire du patient (tant qu'on n'a pas essayé le médicaments, on ne peut être sur de rien... le potentiel de réaction existe),

  • des mutations génétiques provoquées par la molécule,

  • les effets nocifs d'un médicament pris par une femme enceinte entraînant des malformations du bébé.

Mais il y a aussi tous les effets secondaires classiques tels que :

  • L'aspirine, responsable des brûlures d'estomac, de perforations gastriques, d'allergies cutanées parfois mortelles,

  • n'importe quelle injection dans une articulation peut se compliquer d'infection si les règles d'hygiène ne sont pas parfaitement respectées,

  • la pince que le chirurgien a oublié dans le ventre d'un patient,

  • le surdosage accidentel d'irradiation, les radiographies réitérées, sont responsables chaque année de 3000 à 5000 nouveaux cancers,

  • les sidas ou hépatites B contractées suite à une transfusion sanguine,

  • les pathologies secondaires (dépressions, accélération du processus de la maladie, suicide) générées par le choc émotionnel occasionné par un discours médical perturbant, brutal, indifférent ou blasé.

Et les multitudes de causes indirectes :

  • Les erreurs de dosage 

Prendre double dose le lendemain quand on a oublié la dose du jour... Les erreurs thérapeutiques dues aux mauvaises indications, à l'oubli des précautions d'emploi, des associations déconseillées. Le déni du risque médicamenteux par les professionnels de la santé : la cause principale de la banalisation du médicament, l'origine de la plupart des cas d'automédication malheureuse. Une association de médicaments : combien de personnes âgées consomment-elles trois ou plus de médicaments par jour, parfois sans le savoir puisque de plus en plus de médicaments sont déjà des associations (antalgiques, antihypertenseurs). Or, la prise de deux médicaments dans la même journée peut exposer à des effets secondaires que la prise isolée de chaque médicament n'aurait pas provoqué.

  • Des conséquences mortelles

Gardez à l'esprit que depuis quelques années prendre un médicament revient un peu à jouer à la roulette russe : nous ne disposons souvent pas de suffisamment de recul pour dresser une liste complète de tous les effets secondaires possibles.

Certaines molécules ont obtenu l'autorisation de mise sur le marché alors que des effets secondaires graves n'étaient pas encore connus du corps médical. On se souvient des accidents survenus avec le Staltor, retiré du marché en 2001, ou le Vioxx responsable entre 1999 et 2004 de plus de 27000 accidents cardiaques, mortels pour la plupart.

A côté de ça, il faut plusieurs années à une compagnie américaine cherchant à commercialiser un jus de fruit en Europe pour obtenir son homologation, et parce que c'est un jus de fruit et non pas un produit issu de la pharmacie, ce jus est déclaré nouvel aliment et ne peut pas se prévaloir d'une action thérapeutique, alors qu'il est utilisé depuis des milliers d'années par des tradi-praticiens pour traiter quasiment tout, jusqu'au cancer, sans l'ombre d'un effet secondaire. C'est sans doute une des raisons pour lesquelles aujourd'hui les gens sont conditionnés pour avoir une confiance aveugle en la pharmacie et une méfiance automatique envers ce qui n'est pas vendu en pharmacie. Et oui après tout, pourquoi mourir heureux, sur la plage à 120 ans, au soleil en maillot de bain, quand on peut mourir vers 70 ans, malade, dans d'atroces souffrances (c'est l’inconscient collectif qui nous le dicte), en creusant le trou de la sécu et en participant à la pollution chimique de la planète ?

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