Les 6 grands besoins de la femme qui souffre
Si vous lisez ces lignes, c’est peut être parce que vous souffrez d’infections récurrentes du type cystites, vaginites, herpes, ou papillomavirus, peut être êtes vous tout simplement en pleine préménopause ou ménopause et souffrez de divers problèmes irrésolus « là », ou bien, peut être êtes vous à la recherche de solutions non toxiques à proposer à votre clientèle. Ce sont des cas différents, mais vous avez un point commun : vous avez besoin d’aborder ce type de problème sous un angle différent que ce qui vous a été présenté jusqu’à présent. Avant d’aider les femmes à se débarrasser de leurs problèmes récurent, et je veux parler de ceux qui les touchent dans leur intimité, à savoir principalement les vaginites, mycoses vaginales, cystites à répétition et autres infections débilitantes que l’on a toutes plus ou moins subies dans nos vies, j’en ai souffert pendant des années, et depuis toute petite. Ce sont des infections pour lesquelles on sait combien les médicaments sont de piètres solutions. Au départ, lorsque j’ai souhaité aider les femmes à régler ce genre de problème, je m’efforçais de les aider avec leurs symptômes visibles qui sont, il faut bien le dire, pénibles à vivre. Alors bien sur, nous allons parler mycoses, vaginites et cystites, mais je voudrais aussi que l’on aborde ce dont on ne parle jamais mais qui existe malgré tout, surtout chez celles pour qui ces infections semblent irréductibles. Parce qu’il y a souvent bien plus qu’une infection locale à traiter. Il y a tout un ensemble de prédispositions, énergétiques, métaboliques et émotionnelles qui viennent s’ajouter à la gestion de vos symptômes. Et tout ça est bien sur interconnecté à notre style de vie, à votre vie amoureuse, à notre estime de soi et notre accès à la réussite matérielle. C’est très féminin de subir ce qui ne devrait pas l’être. Pour la petite histoire, cette formation a fini par contaminer ma propre fille. A force de m’entendre parler de tout ce que les femmes endurent, elle a fini par se révolter et à décidé de proposer le même genre d’approche aux américaines. Elle a été jusqu’à se lancer dans un master de sexologie alors qu’elle est déjà aromathérapeute. Les américaines n’ont qu’à bien se tenir. Quoi qu’il en soit, vous êtes tout autant concernées!